F1 : «J’ai été très malade», un Français s’est fait peur
Hugo Chirossel

Alors que la Formule 1 va bientôt reprendre ses droits, Esteban Ocon va vivre sa quatrième saison avec Alpine, cette fois-ci avec Pierre Gasly comme coéquipier. Toutefois, il a révélé avoir été très malade cet hiver en raison d’un virus pulmonaire, ce qui a perturbé sa préparation. S’il a avoué que cela l’avait inquiété, le Français a désormais retrouvé toutes ses capacités physiques.

Jeudi, Alpine a présenté sa nouvelle monoplace pour la saison à venir. Une présentation au cours de laquelle l’écurie française a aussi annoncé l’arrivée de Zinédine Zidane en tant qu’ambassadeur, pour le plus grand bonheur de Pierre Gasly et Esteban Ocon. Ce dernier a également révélé à cette occasion avoir été très malade après le dernier Grand Prix de la saison à Abu Dhabi. En effet, Esteban Ocon a été touché par un virus pulmonaire, ce qui a grandement perturbé sa préparation pour la saison à venir.

« Je n'ai pas vraiment pu retrouver le niveau de forme physique que j'étais censé avoir »

« Pendant un mois et demi, je n'ai pas vraiment pu retrouver le niveau de forme physique que j'étais censé avoir », a indiqué Esteban Ocon, dans des propos relayés par Motorsport.com. « Mais nous avons fait un excellent travail avec mon équipe, avec mes entraîneurs, pour revenir au niveau de forme que j'avais l'année précédente. Je me sens bien maintenant. Mais en si peu de temps, ces virus sont violents. Tout le monde doit faire attention, évidemment. »

« C'était juste un moment effrayant »

S’il est désormais de retour à 100%, Esteban Ocon a avoué que cela l’avait beaucoup inquiété : « J'étais capable de faire certaines choses, mais mon cardio était au plus haut rien qu'en marchant par exemple. C'était aussi grave que ça. Nous étions donc assez inquiets, mais nous avons tout fait pour que je récupère aussi vite que possible et que je passe en mode d'entraînement complet lorsque je me sentirais mieux, et alors j'ai considérablement progressé. Mais pendant un long moment, ça a plafonné, et c'est là que nous avons commencé à nous inquiéter (...) C'était juste un moment effrayant qui ne se terminait pas. Le corps humain est une machine très étrange. Ce n'est pas une machine, c'est pourquoi nous ne pouvons pas le réparer aussi rapidement que nous réparerions la voiture, ce qui est assez pénible parfois. Mais c'est comme ça. »

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