F1 - Alpine : Ocon annonce la couleur pour son avenir !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

A 27 ans, Esteban Ocon est à un moment clé de sa carrière et en a bien conscience alors qu’il vient d’entrer dans sa dernière année de contrat avec Alpine. Interrogé sur sa situation personnelle, le Français a reconnu des premières discussions pour son avenir, estimant avoir de solides arguments pour obtenir satisfaction. 

Lewis Hamilton a enflammé le paddock avant même le début de la saison avec l’annonce de son arrivée chez Ferrari en 2025. Le Britannique dispute ainsi ses dernières courses avec Mercedes, et il n’est pas le seul à faire parler de lui pour son avenir. Esteban Ocon voit notamment son contrat arriver à expiration, son futur s’inscrivant ainsi en pointillé. Le Français est donc doublement motivé cette saison avec Alpine, alors que les tractations ont déjà été lancées en privé le concernant. 

« Il va y avoir des discussions »

« C’est une année importante dans ma carrière, c’est sûr, et je veux faire du mieux possible. Je ne veux pas avoir de regrets à la fin de l’année. Il va y avoir beaucoup de travail, sur la piste et en dehors, il va y avoir des discussions évidemment parce que je suis dans ma dernière année de contrat. Bien sûr, les choses ont déjà commencé, comme tout le monde », a notamment réagi Esteban Ocon, relayé par Nextgen-Auto. 

« Il y a plus d’arguments qui jouent en ma faveur »

« Je ne suis pas un grand fan de ces discussions, mais je suis dans une situation différente de 2019. J’en sais beaucoup plus sur ce sport, j’ai disputé beaucoup plus de courses, je suis un vainqueur de course, je suis monté sur des podiums. Il y a plus d’arguments qui jouent en ma faveur, mais le plus important est le travail que l’on fait sur la piste, je crois que le côté politique est secondaire, et j’espère que ça le restera », poursuit Ocon.

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