F1 : Alonso reçoit une terrible réponse, un nouveau calvaire se prépare
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Malgré des essais hivernaux plutôt convaincants, Fernando Alonso s'est montré assez pessimiste pour la saison à venir, estimant qu'Aston Martin ne se battrait pas avec les top team. Une analyse partagée par Mike Krack, la patron de l'écurie appartenant à Laurence Stroll. 

Aston Martin reste pessimiste

« Il est très difficile sur un tel test de porter un jugement correct. L’année dernière, nous étions quatrièmes, quatrièmes et dixièmes sur les trois jours, et lors du week-end de course, nous étions éliminés en Q1. Juste pour vous dire à quel point un test comme celui-là peut vous donner une indication sur votre situation », confie-t-il dans des propos rapportés par Nextgen-auto.com avant de minimiser les chronos encourageant de Fernando Alonso durant les simulation de course : « La simulation de course n’était certainement pas mauvaise, mais nous ne devons pas oublier que les conditions de piste étaient vraiment bonnes. Il y avait beaucoup de gomme, parce qu’il y avait d’autres équipes qui utilisaient des pneus neufs, souvent aussi avec des gommes tendres. »

«Fernando l’a dit plus tôt, il n’y a pas de miracles en F1»

« Cela aide quand vous faites une simulation de course. C’est bien d’avoir de bons longs runs, mais il faut les mettre dans le bon contexte et ne pas commencer à rêver. Je pense que Fernando l’a dit plus tôt, il n’y a pas de miracles en F1 », ajoute Mike Krack qui confirme donc les propos de Fernando Alonso : « Nous ne devons pas perdre de vue nos objectifs. Notre objectif était de faire un pas en avant dans la performance de la voiture dans l’équipe, et cela reste toujours notre objectif. Nous devons garder les pieds sur terre. Nos attentes sont toujours élevées et à cette période de l’année, tout le monde veut bien faire. Nous sommes réalistes ».

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