Après deux saisons chez Alpine, Fernando Alonso a décidé de quitter l’écurie française afin de rejoindre Aston Martin. Pour l’Espagnol, c’est un nouveau choix de carrière qui intrigue après des décisions qui n’ont pas payé par le passé. Mais cette fois-ci, tout le monde semble optimiste, que ce soit Fernando Alonso ou au sein de l’écurie.
Du haut de ses 41 ans, Fernando Alonso a toujours le don de faire parler de lui. Alors qu'il semblait pleinement impliqué dans le projet Alpine, qu'il avait rejoint en 2020, le double champion du monde (2005 et 2006) a décidé de tout plaquer pour rejoindre Aston Martin où il remplace Sebastian Vettel, jeune retraité. Un choix de carrière qui peut intriguer, comme de nombreux autres auparavant dans sa carrière. Mais cette fois-ci c'est la bonne. L'Espagnol est persuadé qu'il rejoint le projet parfait pour assouvir son rêve de décrocher un troisième titre mondial.
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— le10sport (@le10sport) December 23, 2022
Alonso est très ambitieux
« C’est un projet complètement différent, c’est certain. Et je suis si heureux. Je ne peux pas être trop confiant, c’est sûr, car tout va changer pour l’année prochaine, mais le sentiment que j’ai eu dans le garage, avec les gars et le potentiel de l’équipe... Et le talent que je vois dans la salle d’ingénierie est exceptionnel donc je suis vraiment, vraiment, vraiment heureux de mon choix », confiait ainsi Fernando Alonso il y a quelques jours, visiblement certain d'avoir pris la bonne décision..
L'optimisme d'Aston Martin
Du côté d'Aston Martin aussi l'optimisme est de rigueur comme l'expliquait Mike Krack, directeur de l'écurie : « Vous arrivez ensuite sur le site et voyez ce grand bâtiment, cela ajoute de la motivation supplémentaire car pendant des années, l’équipe a obtenu de meilleurs résultats que ce qu’elle était censée obtenir. Alors si vous donnez des moyens à toutes ces personnes talentueuses, il n’y a aucun raison de ne pas réussir dans les années à venir. Nous devons progresser chaque année si nous voulons arriver au sommet. C’est facile à planifier, mais il faut ensuite beaucoup travailler. Je l’ai déjà dit, mais le fait de progresser est très, très motivant. C’est donc ce que nous devons faire en permanence. Si nous y parvenons chaque année, nous finirons par récolter les fruits de notre travail. » Et si Alonso avait enfin fait le bon choix ?