Pierre Ménès victime d’un complot, on a voulu «l’achever» ?
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Au cours des dernières années, Pierre Ménès s’est retrouvé devant la justice française suite à des accusations de plusieurs femmes à propos de gestes déplacés qu’il aurait pu avoir. Des accusations complètement fausses à ses yeux, lui qui a pensé pendant un moment qu’un complot aurait pu être monter. Quelqu’un aurait-il voulu alors nuire à Pierre Ménès ?

Invité de l’émission La Base, Pierre Ménès est notamment revenu sur ses déboires avec la justice française, lui qui avait notamment été placé en garde à vue pour agression sexuelle. Alors qu’on se souvient notamment de l’affaire avec Marie Portolano, le journaliste sportif avait également été accusé d’avoir touché la poitrine d’une hôtesse du Parc des Princes en marge d’un match du PSG. Ce n’est pas tout puisqu’une autre histoire avec une vendeuse d’une boutique Nike avait éclaté.

« J’ai pensé que c’était un complot »

Ça en faisait donc des déboires pour Pierre Ménès. Face à cette multiplication des affaires, le journaliste s’est même mis à penser qu’il était la cible d’un complot. Dans cette émission diffusée sur Youtube, Pierre Ménès a ainsi expliqué à ce sujet : « On est dans un monde totalement aseptisé et surtout dès qu’une femme l’ouvre, elle a forcément raison. On ne remet jamais sa parole en cause. Je m’étais à peu près relevé de l’histoire Canal avec ma plateforme et là, l’hôtesse, elle m’a tué. Elle m’a tué. Et pourtant, c’est de la merde ce qu’elle a dit, c’est faux. Au point où j’ai pensé que c’était un complot. Et qu’il fallait que quelqu’un m’achève ».

« Je dérangeais plus que quelqu’un »

« Je crois encore que c’est complot, je suis convaincu. De qui ? Je ne sais pas, de quelqu’un qui a intérêt à m’achever, quelqu’un à qui je faisais de l’ombre. Je pense que je dérangeais plus que quelqu’un. Je n’étais pas forcément très apprécié. Quand j’avais envie de dire merde à quelqu’un, je lui disais merde. C’est quand même curieux que les deux hôtesses de la boutique portent plainte le même jour », a poursuivi Pierre Ménès.

Articles liés