Transferts - PSG : Daniel Riolo dézingue une grosse recrue du mercato
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Recruté par le PSG en provenance du Stade de Reims et seule recrue offensive du mercato estival, Hugo Ekitike peine pour le moment à s’imposer sous ses nouvelles couleurs. L’attaquant français tente de faire bonne figure, mais de son côté, Daniel Riolo s’est lâché sur ce recrutement.

Interrogé mardi soir au micro de RMC Sport sur son intégration compliquée au PSG ainsi que le temps de jeu limité que lui accorde Christophe Galtier,Hugo Ekitike a affiché sa détermination : « Je ne suis pas venu pour faire de la représentation, je veux apporter ma touche. Je dois continuer pour jouer les prochains matchs. Je suis venu ici dans un projet sur plusieurs années où je dois progresser. Je pense que je suis dans le club parfait pour ça. Il faut que je devienne le grand numéro 9 que le PSG attend », a indiqué l’attaquant de 20 ans, recruté en provenance du Stade de Reims cet été sous la forme d’un prêt avec une option d’achat de 35M€.

Riolo se paye Ekitike

Mais en attendant, Ekitike n’a rendu que des copies globalement décevantes depuis le début de la saison au PSG, et Daniel Riolo ne l’a pas loupé sur RMC Sport : « Il y a la promesse du numéro neuf. Elle a quand même conduit Luis Campos à considérer que ça allait peut-être être Hugo Ekitike ce n°9. 35 millions d’euros pour un vrai-faux recrutement, parce que ce sera pour l’année prochaine. Il a été recruté une fortune, il ne joue jamais », constate Riolo sur Ekitike, avant de se lâcher plus globalement sur l’ensemble des recrues du mercato au PSG.

« Les mecs sont assis dans un coin... »

« Les remplaçants au PSG, c’est Jacquouille dans Les Visiteurs. C’est les mecs qui sont assis dans un coin, les sénateurs sont à table et on leur balance les miettes. Rien n’est fait pour leur acclimatation. Les mecs auront un temps de jeu très limité, ils ne prendront jamais la confiance et feront comme ceux des dernières années qui ne se sont jamais imposés », lâche Riolo.

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