Transfert «rocambolesque» à l’OM, il balance toutes coulisses !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Aujourd’hui que les cages de l’OM sont aujourd’hui bien gardées par Geronimo Rulli, il y a quelques années de cela, le club phocéen s’offrait un champion du monde et d’Europe en la personne de d’Andreas Köpke. En effet, en 1996, le gardien allemand débarquait en provenance de l’Eintracht Francfort. Une signature à l’OM qui a d’ailleurs été complètement folle.

Au cours de son histoire, l’OM en a vu passer des Allemands. Parmi eux, on peut notamment retrouver Andreas Köpke. Le gardien champion du monde et d’Europe avait ainsi rejoint Marseille en 1996, signant alors en provenance de l’Eintracht Francfort. Le fait est qu’initialement, Köpke n’était pas du tout destiné à signer à l’OM à ce moment.

« Le Barça se retire de la négociation… »

C’est pour le JDD qu’Andreas Köpke a raconté les coulisses complètement folles de son transfert à l’OM. L’Allemand a alors fait savoir : « Mon arrivée avait été rocambolesque. Après l’Euro 1996 victorieux en Angleterre, j’avais été présenté comme nouvelle recrue de Stuttgart, j’avais même enfilé le maillot souabe, mais le transfert avait finalement capoté à la dernière minute. Dans la foulée, j’annonce mon transfert au FC Barcelone, mais là aussi le Barça se retire de la négociation un jour avant l’expiration d’une clause de retrait pour des incertitudes financières ».

« Quand l’OM se présente, je n’hésite pas pas une seconde »

Au final, Andreas Köpke a donc fini par signer à l’OM, confiant : « Quand l’OM se présente, je n’hésite pas pas une seconde. Pourquoi ? Pour la réputation bouillante et passionnante du club et parce que plusieurs grands joueurs allemands comme Karl-Heinz Förster, Klaus Allofs et Rudi Völler avaient réussi sous le maillot blanc ».

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