Révolution au FC Nantes, l'entraîneur vide son sac
Hugo Chirossel

Arrivé sur le banc du FC Nantes le 29 novembre dernier en remplacement de Pierre Aristouy, la position de Jocelyn Gourvennec est fragilisée. Battus par Strasbourg samedi (1-3), les Canaris sont en grandes difficultés et sont 16es au classement, mais le technicien français de 51 ans s’est dit déterminé à poursuivre sa mission.

Comme il l’avait confié vendredi en conférence de presse, Jocelyn Gourvennec ne veut pas arrêter. Ce samedi, les FC Nantes s’est incliné lors de la réception de Strasbourg (1-3) dans un match très important dans la course au maintien. 16es au classement, les Canaris pourraient se retrouver 17es en cas de victoire de Metz à Reims dimanche.

« J’ai une détermination depuis le premier jour où je suis ici »

Si elle est compliquée, Jocelyn Gourvennec estime qu’il est toujours l’homme de la situation au FC Nantes : « Si je sens que je suis toujours l’homme de la situation ? J’ai une détermination depuis le premier jour où je suis ici. Ça fait 30 ans que je rêve de devenir l’entraîneur de Nantes. La situation était compliquée au départ et on a du mal de manière régulière à la relever et à la modifier. On fait de bonnes choses, on peut gagner un match, on n’a pas de régularité. »

« Ma détermination est sans faille et je ne me pose même pas la question »

« Là ce soir c’est d’une mi-temps à l’autre, on fait vraiment une très bonne première mi-temps. Le match de Marseille est encore différent, on fait une très bonne deuxième mi-temps et on est floué sur ce match-là. Ce soir, on peut s’en prendre qu’à nous-mêmes parce qu’on s’est fait transpercer sur deux, trois coups et c’est des choses qui reviennent, c’est pas nouveau. Ce n’est pas non plus une question de système », a poursuivi Jocelyn Gourvennec au micro de Prime Vidéo, avant d’ajouter : « Ma détermination est sans faille et je ne me pose même pas la question. »

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