En septembre dernier, l’OM a connu une crise majeure qui a vu partir plusieurs éléments majeurs à l’image de Marcelino ou encore Javier Ribalta. Pablo Longoria a également longuement hésité avant de finalement conserver son poste de président. Mais vu d’Espagne, Longoria a clairement failli craquer.
C'est officiel, un crack signe à l'OM ! https://t.co/a2VFNNoB6C pic.twitter.com/Z72Z3JTd1j
— le10sport (@le10sport) March 13, 2024
«J’étais convaincu que Pablo quitterait le club»
« Le départ de Marcelino m’a interpellé. J’étais convaincu que Pablo quitterait le club. Je ne lui ai pas parlé, mais j’ai parlé à Marcelino, avec qui j’ai une bonne relation. C’était très dur pour eux, quelque chose qu’ils n’avaient jamais vécu auparavant. À la radio, nous en avons parlé quand "Marce" est parti et nous avons aussi parlé du licenciement de Gattuso dans mon émission. Je ne suis pas surpris par le départ de l’Italien parce qu’en fin de compte, il n’a pas laissé de bons souvenirs à Valence », explique le journaliste de la Onda Cero dans les colonnes de La Provence, avant que son confrère Conrado Valle n’en rajoute une couche.
«L’OM est perçu comme un club où les ultras ont un pouvoir d’influence démesuré»
« De loin, l’OM est perçu comme un club où les ultras ont un pouvoir d’influence démesuré et inhabituel, une relation qui dépasse la simple mission d’encouragement. Je n’ai pas du tout été surpris par la signature de Marcelino, en raison de son harmonie avec Longoria et parce que je crois qu’avec le temps, il aurait donné à l’OM l’identité que ses équipes ont toujours eue. Mais ils ne lui ont pas laissé le temps. J’ai été plus impressionné par la signature de Gattuso, principalement parce que les styles et les principes footballistiques de Marcelino et de Gattuso sont presque diamétralement opposés », estime le journaliste de AS.