Christophe Galtier semble avoir épuisé l'intégralité de son crédit au Paris Saint-Germain et ne devrait donc plus en être l'entraîneur la saison prochaine. Le PSG se penche alors sur plusieurs pistes et des noms circulent dans les couloirs du Camp des Loges comme celui de Zinédine Zidane, Thiago Motta ou encore José Mourinho. Concernant le Portugais, sa venue est validé par Rolland Courbis.
Les noms du potentiel successeur de Christophe Galtier au PSG affluent. Si Zinédine Zidane reste le rêve des propriétaires qataris, d'autres pistes sont aussi mises à l'étude. Celle menant à José Mourinho est-elle crédible ? Le Special One, aujourd'hui entraîneur de l'AS Rome n'a toujours pas prolongé son contrat avec son club, contrat qui expire en juin 2024. Pour que le Portugais arrive au PSG, il faudra alors négocier son départ de l'AS Rome avec le club italien et vu les bons résultats obtenus avec lui, cela pourrait être compliqué.
« Ça peut arriver »
La potentielle venue de JoséMourinho au PSG fait déjà des adeptes comme Rolland Courbis, consultant sur RMC : « Que le PSG s’intéresse à José Mourinho, qui fait d’ailleurs du bon boulot à Rome et qu’on sent encore motivé et compétent, je dirais pourquoi pas. Voir une équipe managée par un gars qui est capable d’avoir le vestiaire qui l’écoute compte tenu de son passé et de son bilan, oui, ça c’est sûr que ça peut arriver. »
Il réclame une révolution au PSG, Neymar impliqué https://t.co/UhZtUFxZtM pic.twitter.com/MFBhBt1ped
— le10sport (@le10sport) April 19, 2023
« Une très bonne chose pour le foot français de récupérer Mourinho »
« Mais n’allons pas plus vite que la musique, on va déjà suivre pour voir si ça va se faire. Et si c’est le cas, ce serait une très bonne chose pour le foot français de récupérer Mourinho qui est l’un des meilleurs entraîneurs sur ces 25/30 dernières années, et de voir ce que ça pouvoir faire dans notre championnat (…) On parle d’une arrivée de Victor Osimhen au PSG cet été. Et je suis curieux de voir comment un entraîneur comme Mourinho va pouvoir régler l’équilibre de son équipe avec trois joueurs offensifs », poursuit l'ancien entraîneur de Bordeaux.