Alors que le contrat de Kylian Mbappé s'achève en juin prochain, le PSG aurait un nouvel atout pour convaincre son attaquant de prolonger.
Ces derniers jours, Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, mais également de l'ECA, se défendait d'avoir confectionner un nouveau fair-play financier qui avantagerait le club parisien? « Ce processus a commencé bien avant que je ne devienne président de l'ECA. Ensuite, l'ECA est une affaire de leadership collectif - notre ExCo, nos vice-présidents, notre conseil exécutif - de nombreux organes de décision, tous transparents, tous impliquant des clubs de toutes tailles. Pensez-vous, même si je suis président de l'ECA, qu'un club peut faire quelque chose que les 246 autres clubs et toutes les autres parties prenantes ne veulent pas ? C'est de la folie », confiait-il à la BBC.
Le PSG aidé par le fair-play financier ?
Et pourtant, selon les informations de L'EQUIPE, la réforme du fair-play financier aura bien un impact positif au PSG. Et pour cause, la tolérance de 30M€ de déficit sur trois ans va passer à 60M€, avec garantie de l'actionnaire, ce qui signifie que le propriétaire d'un club pourrait investir pour éponger une partie des déficits alors que jusque-là, seuls les revenus permettaient de combler les déficits. Avec cette marge de manœuvres, cela offre plus de latitude au richissime actionnaire du PSG, notamment dans ses négociations avec Kylian Mbappé.