Alors que le PSG a enregistré l’arrivée de Danilo Pereira dans les dernières heures du mercato estival, Pierre Ménès est étonnement surpris de ne voir aucune critique négative, pour une fois, à l’encontre du nouveau joueur parisien.
Après avoir trainé pendant de longues semaines, le recrutement estival du PSG a connu un énorme coup d’accélérateur dans les dernières heures du mercato estival. Et pour cause, ce n’est ni un, ni deux, mais trois nouveaux joueurs qui sont venus garnir l’effectif parisien en à peine 48 heures. Tour à tour, MoiseKean, Danilo Pereira et Rafinha Alcantara sont venus renforcer l’équipe entrainée par Thomas Tuchel. Concernant le second cité, l’international portugais de 29 ans est arrivé dans le cadre d’un prêt payant de 4 M€ assorti d’une option d’achat fixée à 16 M€. Le joueur arrivé en provenance du FC Porto est attendu au tournant cette saison tant le PSG était à la recherche d’un milieu défensif depuis plusieurs années. Mais en attendant, Pierre Ménès ne manque pas de souligner un fait intéressant avec le néo-parisien.
« Tu n’en entends que du bien »
Présent sur le plateau du Canal Football Club ce dimanche comme à son habitude, le consultant de Canal + n’a en effet pas manqué de noter qu’il n’avait vu que très peu de critiques à l’encontre de Danilo Pereira. Un fait qui n’est pas coutume quand il s’agit du PSG, dont les choix en matière de recrutement son souvent critiqués, parfois de manière non justifiée d’ailleurs comme il l’a sous-entendu. Bien au contraire, alors qu’il est méconnu en France globalement, Pierre Ménès a confié n’avoir lu que du positif concernant le Portugais. « Je n’en lis que du bien, alors qu’en général quand le PSG recrute joueur il y a toujours "ah ouais, Florenzi tu comprends il a eu deux fois les croisés", "ah bah tu comprends Bernat c’est le remplaçant du remplaçant au Bayern Munich". Là tu n’en entends que du bien. Tu vois quand même qu’il a fait 200 matchs avec Porto et qu’il est capitaine de l’équipe. Si c’était un tocard, ça se saurait », a-t-il expliqué.