Mercato - OM : Transfert à 8M€, il révèle un problème
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

L’OM va réaliser un nouveau coup sur le mercato hivernal, en recrutant l’attaquant Camerounais Faris Moumbagna. Le joueur de Bodo Glimt va débarquer à Marseille contre 8M€, et a déjà passé sa visite médicale. Prometteur, Moumbagna a toutefois pêché dans la finition par le passé, comme l’a récemment confirmé un ancien entraîneur. Explication.

« Il saute haut, il court vite, il tient debout dans le duel »

Actuellement en Côte d’Ivoire où il dispute la CAN avec le Cameroun, Faris Moumbagna a passé sa visite médicale ce mercredi. L’attaquant de 23 ans va donc rejoindre l’OM en provenance de Bodo Glimt contre 8M€. Un nouveau renfort offensif pour Gennaro Gattuso, alors que l’ancien entraîneur du joueur à Kristiansund s’est exprimé au sujet de Moumbagna : « Il saute haut, il court vite, il tient debout dans le duel, mais il n'était pas encore prêt », a ainsi déclaré Christian Michelsen auprès de l’Équipe.

« Il marquait peu car sa technique n'était pas au niveau »

L’entraîneur du club norvégien où a évolué Faris Moumbagna de 2020 à 2022, affirme que la nouvelle recrue de l’OM avait certains problèmes de finition : « Il avait beaucoup d'occasions, car il était plus puissant et plus rapide que tous les défenseurs, mais il marquait peu car sa technique n'était pas au niveau. Il frappait trop fort, ou bien il arrivait trop vite. Il a énormément travaillé la finition, le dernier geste, le calme au moment de conclure.  C'est un garçon souriant, qui aime le foot et qui aime ses coéquipiers. Il n'est plus seulement le monstre physique qu'il était à son arrivée. Ici, on a hâte de le voir à Marseille, où la pression n'est pas la même et la difficulté non plus ».

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