Mercato - OM : «On ne peut pas», transfert annulé à la dernière minute !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

À l’été 2004, l’OM s’était attaché les services de Peguy Luyindula, recruté contre un montant estimé à 10M€ en provenance de l’OL. Mais dans un premier temps, c’est Sidney Govou que les Gones comptaient envoyer à Marseille, avant que Bernard Lacombe ne fasse changer d’avis Jean-Michel Aulas, comme l’a révélé l’agent de joueur Frédéric Guerra.

Peguy Luyindula n’aura pas laissé un grand souvenir à lOM. Arrivé à l’été 2004 en provenance de l’OL contre environ 10M€, l’ancien international français (6 sélections) a ensuite enchaîné deux prêts, à l’AJ Auxerre, puis à Levante, avant d’être transféré au PSG en janvier 2007. L’histoire aurait pu être différente, puisque dans un premier temps, c’est Sidney Govou et non Peguy Luyindula que l’OL voulait vendre à l’OM.

Quand Sidney Govou devait rejoindre l’OM

« Une fois Jean-Michel Aulas, au tout début, j’étais allé à Annecy pour un match amical, il me voit dans les tribunes et me dit : “bon, on a décidé de vendre Sidney (Govou) à Marseille. Je vous le dis”. À la fin du match, j’attends les joueurs, il revient et me dit : “finalement on a changé d’avis, on vend Peguy (Luyindula) à Marseille”. Véridique. Et ils ont vendu Peguy Luyindula à Marseille deux jours après », a déclaré l’agent de joueurs Frédéric Guerra dans l'émission RMC Mercato.

« Bernard Lacombe a dû dire : “non, non, on ne peut pas, pas lui” »

Selon lui, c’est Bernard Lacombe qui a très certainement dû faire changer Jean-Michel Aulas d’avis, estimant que l’OL ne pouvait pas se séparer de Sidney Govou, qui finira par partir en 2010 pour rejoindre le Panathinaïkos « Ça se jouait entre les deux et sûrement qu'il a dû en discuter avec Bernard Lacombe qui était un fin footballeur, analyste. Et je pense que Bernard a dû dire : “non, non, on ne peut pas, pas lui” », a ajouté Frédéric Guerra.

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