Star de Newcastle, Allan Saint-Maximin se trouve dans un cocon au sein du club anglais. Et chez les Magpies, le Français se verrait bien rester un long moment.
Dans le nord de l’Angleterre, AllanSaint-Maximin semble être dans son élément. En effet, à Newcastle, l’ancien joueur de l’ASSE et de l’OGC Nice apprécie la proximité avec les supporters des Magpies et l’atmosphère qui règne autour du club bien que le pensionnaire de Premier League soit la lanterne rouge en championnat. Mais avec le rachat et les perspectives d’avenir à Newcastle, Saint-Maximin n’a pas fermé la porte au fait d’y faire toute sa carrière. « J'aime vraiment, vraiment le club et j'aime vraiment les supporters pour tout ce qu'ils me donnent, mais vous devez toujours faire un choix sur votre rêve et ce que vous voulez réaliser. Si je peux réaliser mon rêve et mon objectif à Newcastle, je resterai, c'est sûr, mais si je ne peux pas, vous devez aussi penser à vous, donc nous verrons après cette saison ce qui se passera. Je veux réaliser tellement de choses. Je veux jouer pour l'équipe nationale, c’est vraiment important pour moi, jouer la Coupe du monde. Je veux jouer la Ligue des champions. J'ai beaucoup de rêves, comme celui de gagner le Ballon d'Or. Certaines personnes me disent : Placez votre ambition très haut et même si vous n'y arrivez pas, vous trouverez de bonnes choses. C'est la façon dont je pense en ce moment. Pour sûr, le rachat augmente les chances que je reste plus longtemps. Ce n'est pas une question d'argent, vraiment. Newcastle avait de l'argent, même avant le rachat, pour faire venir de bons joueurs, mais il s'agit d'une vision à long terme. Cela peut faire une énorme, énorme différence. Nous voyons Amanda toutes les semaines, c'est bien. Nous passons du bon temps avec elle. Je pense que c'est un très bon moment. J'aime Amanda. J'espère qu'elle va rester longtemps. La position d'Amanda et ce qu'elle me donne à moi aussi peut m'aider et me donner tant de choses, comme rester toute ma vie à Newcastle ». a confié AllanSaint-Maximin à The Times. Le ton est donné.