Mercato : Il quitte de le PSG et se fait fracasser à l'étranger
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

En fin de contrat avec le PSG l'été dernier, Angel Di Maria n'a pas été conservé et s'est donc retrouvé libre sur le marché. Et c'est la Juventus qui en a profité. Comme souvent, la Vieille Dame saisit une opportunité avec un joueur libre sur le mercato. Mais le Fideo ne fait pas l'unanimité depuis son arrivée.

Arrivé au PSG en 2015 après un passage cauchemardesque à Manchester United, Angel Di Maria se voyait bien terminer sa carrière européenne avec le club de la capitale, avant de retourner à Rosario, comme il l'a plusieurs fois répété. Néanmoins, alors que son contrat s'achevait le 30 juin dernier, le PSG a décidé de ne pas lever l'option pour une saison supplémentaire, poussant l'Argentin à se trouver un nouveau club. Et c'est finalement à la Juventus qu'il a rebondi. Cependant, son début de saison est gâché par les blessures et Angel Di Maria semble tout faire pour ne pas hypothéquer ses chances de participer à la Coupe du monde, ce qui exaspère le journaliste italien Umberto Chiariello

«C'est un joueur fini»

« C'est un achat totalement erroné, nous parlons d'un joueur fini. La Juventus aurait dû faire comme par le passé, comme dans les années soixante-dix, lorsqu'elle s'est refondée puis modernisée au fur et à mesure : cette équipe a gagné comme ça pendant deux décennies. Or, il ne l'a pas fait, il a pris un entraîneur tactique et il avait plutôt besoin d'un stratège, un à la Sacchi », lance-t-il au micro de CalciomercatoTV avant de poursuivre.

«Di Maria veille à ses propres intérêts»

« L'Argentin Angel Di Maria rappelle l'histoire de Salvatore Bagni qui ne voulait pas opérer en 88 et qui a coûté le Scudetto à Naples. Le joueur offensif argentin veille à ses propres intérêts et vise à faire une grande Coupe du monde avec son équipe nationale. Les joueurs qui vont jusqu'au bout de la Coupe du monde sont susceptibles de se blesser, je pense à l'histoire des deux joueurs de Naples, Anguissa et Osimhen, lors de la Coupe d'Afrique des Nations l'année dernière », conclut Umberto Chiariello.

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