Le PSG encore menacé avec sa révolution du mercato ?
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Après avoir lourdement chuté à Newcastle mercredi soir en Ligue des Champions, le PSG va tenter de se relancer en Ligue 1 sur la pelouse du Stade Rennais. Et le capitaine breton, Benjamin Bourigeaud, se livre sur les changements majeurs opérés par le club parisien durant le mercato estival. 

C'est un fait, le PSG a considérablement changé de visage au cours du dernier mercato. Out Lionel Messi, Sergio Ramos, Neymar ou encore Marco Verratti, et le club de la capitale a attiré pas moins de treize nouvelles recrues pour renouveler son effectif. Le tout en changeant également d'entraîneur puisque Luis Enrique a été nommé à la place de Christophe Galtier. Une révolution majeure donc pour le PSG, qui est encore en phase de construction comme en témoigne sa lourde défaite concédée mercredi en Ligue des Champions, à Newcastle (4-1). 

« Beaucoup de nouveaux joueurs, un nouveau staff »

Interrogé sur le site officiel du Stade Rennais, le capitaine breton Benjamin Bourigeaud s'est confié à ce sujet avant la réception du PSG dimanche soir, en championnat : « Ils ont beaucoup de nouveaux joueurs, un nouveau staff. Ils sont dans un temps d’adaptation. Ils ont un nouveau système et plusieurs joueurs découvrent ce club. On est à la maison, on devra leur montrer que l’on est chez nous et imposer le rythme que l’on a décidé. On joue le PSG mais on veut mettre en avant le travail collectif. Il n’y a que comme ça que l’on pourra les battre », indique Bourigeaud

« Il faut s'inspirer de Newcastle »

Le milieu rennais souhaite s'inspirer de Newcastle pour venir à bout du PSG dimanche : « On l’a vu en Ligue des Champions, Newcastle a joué en équipe. Il faut s’inspirer de ça pour les mettre à mal. En plus de ça, on aura le public derrière nous. Il va y avoir une belle ambiance. J’espère qu’ils seront derrière nous jusqu’au bout. Dans les temps faibles, on aura besoin d’eux ». Le message est passé. 

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