Mardi, Antoine Kombouaré a été nomme sur le banc du FC Nantes où il fait son retour moins d'un an après son départ. Le Kanak remplace ainsi Jocelyn Gourvennec qui laisse les Canaris dans une moins bonne position que celle à laquelle il les avaient récupéré après le licenciement de Pierre Aristouy. De quoi laisser des regrets aux Nantais ?
FC Nantes : «Équipe de merde», premières tensions avec Kombouaré ? https://t.co/QD7Gw5e5c5 pic.twitter.com/gHDLCxdnvR
— le10sport (@le10sport) March 20, 2024
Des regrets de s'être séparés d'Aristouy ?
« Je ne pense pas à ce qui a été fait auparavant. Il nous reste 8 matches et je me concentre sur l'avenir. Je me concentre sur mobiliser les joueurs et le club pour qu'on tire tous dans la même direction. Est-ce que j'aurais dû faire comme ci ou comme ça ? On a forcément tous fait des erreurs si on en est là aujourd'hui. On a parlé de l'objectif maintien dès le début de la saison. J'aurais aimé avoir quelques points de plus. Les matches se jouent à pas grand-chose. Je ne me suis pas posé pour faire le pour et le contre des décisions qu'on a pu prendre. On fera le point en fin de saison », assure le directeur général du FC Nantes en conférence de presse, avant de poursuivre.
«A mi-saison, on est toujours dans la route pour le maintien»
« Ces trois dernières années, on s'est maintenu aux barrages, l'année d'après, on a ramené un trophée du Stade de France, on retourne ensuite au Stade de France, on joue l'Europe... Dans la globalité du club, c'est 2 titres de champion de France des moins de 19 ans - ce n'est jamais arrivé ! -, on est le 2e club français à aller dans le Final Four, les filles sont 2e, la N3 et les U19 sont 2e... avec le budget qu'on a, ce n'est pas trop mal. On prolonge aujourd'hui les cadres de l'équipe, comme Alban Lafont, Jean-Charles Castelletto, Moses Simon... Ce ne sont pas des détails. C'est avec eux qu'on s'est maintenus et qu'on a vécu des choses. C'est comme ça qu'on construit un club, en conservant l'ossature. On prolonge aussi maintenant nos jeunes talents, comme Nathan Zézé ! On vend même des joueurs dans des grands clubs qui jouent l'Europe. A mi-saison, on est toujours dans la route pour le maintien », ajoute Franck Kita.