En fin de contrat au Panathinaïkos, Cédric Kanté confirme qu’il a été approché par certains clubs français et étrangers.
Dans quel état d’esprit êtes-vous alors que vous arrivez en fin de contrat au Panathinaïkos ?
J’attends le bon challenge à relever. Je sais que ça va être un marché compliqué. Ça ne bouge pas trop. Les clubs pensent surtout à réduire leur masse salariale et leur budget. Il y a aussi l’Euro… Je sais qu’il va falloir être patient. Mais je ne m’inquiète pas, je suis assez optimiste, j’ai déjà eu pas mal contacts.
Lesquels ?
J’ai des contacts en France et à l’étranger. J’ai reçu une proposition d’un club français. C’est en France que les contacts sont les plus avancés. C’est assez logique, car j’y ai joué assez longtemps. Si ça peut m’intéresser ? Oui, bien sûr. Pas mal de clubs présentent des projets intéressants en Ligue 1.
« Rester au Pana est une possibilité »
Vous seriez sur les tablettes de Sochaux et Toulouse….
Oui, Sochaux m’a approché. En revanche, pour Toulouse je ne suis pas au courant.
Où en êtes-vous avec le Panathinaïkos ?
Le club vient de nous payer une partie de ce qu’il nous devait, avant de passer devant l’UEFA, pour être autorisé à disputer la Ligue des Champions la saison prochaine. J’ai passé trois belles années en Grèce. Rester au Pana est une possibilité, même si les dirigeants doivent d’abord régler leurs problèmes financiers. Après, je n’attendrai pas deux mois pour savoir ce qu’ils comptent faire.