Il se lâche sur son calvaire au RC Lens
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Arrivé libre cet été en provenance de Toulouse, Stijn Spierings ressemblait à une belle affaire pour le RC Lens. Cependant, le milieu de terrain n’a jamais réussi à s’imposer sous les ordres de Franck Haise, au point même d’avoir déjà quitté les Sang-et-Or. De retour à Toulouse, Stijn Spierings est sorti du silence sur sa situation difficile du côté du nord de la France.

Spierings revient sur son échec à Lens

« Je suis heureux bien sûr, on a fait un super match. Quand je suis arrivé à l'aéroport (le 13 septembre), je n'attendais pas à voir les supporters. Je les ai entendus chanter mon nom, je m'en souviendrai toute ma vie. Cela montre bien quel type de club est Toulouse. C'était ce que je recherchais après Lens. Je n'avais pas beaucoup de solutions, parce qu'on m'a prévenu deux jours après la fin du mercato. Quand (Damien) Comolli m'a appelé, c'est devenu l'unique solution de revenir », lance-t-il dans les colonnes de L’EQUIPE, avant de poursuivre.

«Pour moi, c'est comme une famille»

« Pourquoi ça n’a pas fonctionné ? À cause de beaucoup de choses... Ce n'est pas le moment d'en parler. Certaines choses se sont passées mais je suis aujourd'hui concentré sur ma saison à Toulouse (…) Je connais ce club, je connais les gens, c'est très chaud. Pour moi, c'est comme une famille. Quand mon fils est revenu en ville, il s'est senti comme de retour à la maison. Pour moi, c'est le plus important (…) Avec les anciens, c'était naturel. Avec les nouveaux, on a déjà des bonnes connexions. Ça peut être encore meilleur mais c'était bon de jouer ici à nouveau », ajoute Stijn Spierings.

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