Il annonce une énorme surprise au FC Nantes
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Quelques heures après l'annonce du licenciement de Jocelyn Gourvennec, c'est Antoine Kombouaré qui a été choisi pour sauvé le FC Nantes de la relégation. Le Kanak fait son retour moins d'un an après son licenciement et il reconnaît que c'est une grande surprise pour lui aussi. Il ne s'attendait pas à l'appel de Franck Kita.

Seizième de Ligue 1, le FC Nantes est en grand danger cette saison. Et afin d'éviter la relégation, la direction des Canaris a décidé de se séparer de Jocelyn Gourvennec pourtant arrivé en cours de saison pour remplacer Pierre Aristouy. Pour le remplacer, c'est Antoine Kombouaré qui a été choisi et qui fait donc son retour, moins d'un an après son départ. Et le Kanak reconnaît que pour lui aussi se fut une énorme surprise.

«Ca a été une grande surprise que Franck m'appelle»

« J'ai passé mes plus belles années d'entraîneur à Nantes. On a eu la chance de vivre de grandes émotions. Ca a été une grande surprise que Franck m'appelle. Je ne pensais pas revenir si tôt. Quand il me demande si je suis prêt à replonger, je dis oui. Il y a huit matchs pour se maintenir. C'est plus court (que la dernière fois). Sur les 25 joueurs, j'en connais 17. J'arrive ici avec des repères, ce n'est pas un gage de succès », lance le nouveau coach du FC Nantes en conférence de presse avant de poursuivre.

«Si je viens, c'est que je suis persuadé qu'on est capable de le faire»

« J'ai pris un an de repos. J'ai vu des matchs avec plus de recul et de hauteur. Je suis prêt à revenir, je suis content mais je serai plus heureux une fois le maintien acquis. Je suis fan de ce club. Je regarde la Ligue 1, pas tous les matchs. Je m'intéresse à ce que fait Nantes. Il manque les résultats, l'efficacité, la confiance. Si je viens, c'est que je suis persuadé qu'on est capable de le faire », ajoute Antoine Kombouaré.

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