Que ce soit Pierre-Emile Hojbjerg ou Roberto De Zerbi, tous deux ont chanté les louanges de l’Orange Vélodrome pendant leur passage commun en conférence de presse ce mardi avant l’affiche de saison régulière de Ligue des champions cette semaine entre l’OM et l’Atalanta. D’ailleurs, c’est cette ferveur spéciale demeurant dans le stade qui a incité l’entraîneur à accepter le poste offert par les dirigeants marseillais l’année dernière lors d’une visite avec Brighton avec Ligue Europa.
« Le Vélodrome fait un peu de bruit. (...) C'est comme se prendre une gifle, ça te réveille pendant longtemps. Ça peut être le stade le plus bruyant. J'ai eu la chance de faire des beaux stades, mais le Vélodrome c'est unique ». Voici la déclaration lourde de sens effectuée par Pierre-Emile Hojbjerg au cours du point presse précédent le match de la quatrième journée de saison régulière de Ligue des champions de l’OM. Ce mercredi, le milieu de terrain danois et ses coéquipiers affronteront l’Atalanta devant leur public à l’Orange Vélodrome.
Hojbjerg et De Zerbi sur la même longueur d’onde concernant le Vélodrome.
Assis à côté de Pierre-Emile Hojbjerg, Roberto De Zerbi ne pouvait se montrer qu’en adéquation avec les propos tenus par son joueur. Passé par le Vélodrome avec Brighton lors d’un match de poule de Ligue Europa à l’automne 2023, quelques mois précédent sa signature en tant que coach de l’OM, l’Italien a expliqué à la presse avoir notamment fait le choix de prendre les rênes de l’effectif phocéen grâce à l’ambiance particulière du stade de l’Olympique de Marseille.
«C’est une des raisons pour lesquelles je suis venu ici»
« Le Vélodrome, je le connaissais déjà avec Brighton. C’est une des raisons pour lesquelles je suis venu ici. C’est un stade chaud, spécial, exigeant. Mais c’est à nous de faire jouer les supporters pendant le match. C’est un privilège, pour moi et pour les joueurs, de travailler ici ». a confié Roberto De Zerbi aux journalistes en conférence de presse rapportée par Le Phocéen.