Alors que l’Olympique de Marseille a frappé fort cet hiver avec les arrivées de Ruslan Malinovskyi, Azzedine Ounahi et Vitinha, Pablo Longoria s’est déjà penché sur le prochain mercato estival. Selon la presse anglaise, le président phocéen serait sous le charme du meilleur buteur de Ligue 1, Folarin Balogun, prêté par Arsenal à Reims. Un dossier qui s’annonce compliqué.
Après Vitinha, l’OM va-t-il mettre la main sur un autre attaquant très prometteur en la personne de Folarin Balogun ? Prêté par Arsenal à Reims, le joueur de 21 ans est l’une des grandes révélations de cette saison, totalisant 15 buts en Ligue 1, faisant de lui le meilleur buteur du Championnat. Une réussite qui n’a évidemment pas échappé à PabloLongoria, qui serait intéressé par les services de Balogun selon The Daily Mail. Une piste à laquelle ne croit plus vraiment Jean-CharlesdeBono.
« Aujourd’hui, je pense que c’est impossible »
« Meilleur buteur du championnat de France, 15 buts avec Reims en plus. Ça veut dire qu’Arsenal le surveille avec grande attention. J’aurais bien aimé qu’il vienne à l’OM. En plus, je l’avais cité en début d’année mais aujourd’hui je pense que c’est impossible, estime le consultant de Football Club de Marseille. A part si le joueur a une vraie envie de rester en France et de venir à l’OM. Ça dépendra aussi d’Arsenal. Je pense que l’OM a une autre image vis-à-vis des joueurs... L’OM a été critiqué pendant des années, par rapport à son image, ses résultats, ses problèmes externes au club. Aujourd’hui l’OM donne une image totalement différente. »
«Qu’ils arrêtent de jouer à l’OM», il lance un avertissement https://t.co/oE9BDf8PZM pic.twitter.com/hzp5nPTJI8
— le10sport (@le10sport) February 14, 2023
« Les joueurs ont plus envie de venir »
« Les joueurs ont plus envie de venir, à part Moffi qui a tout fait pour ne pas venir. Aujourd’hui les joueurs s’ils veulent passer un cap, il faut qu’ils passent par l’OM. Parce que c’est le club qui a quelque chose en plus que d’autres clubs français, entre le stade, l’ambition du club, les dirigeants qui sont plus exigeants qu’avant », explique Jean-Charles de Bono.