Vente du PSG - Qatar : La bombe lâchée en direct !
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

À en croire les dernières tendances, les propriétaires qataris du PSG menaceraient de revendre le club et de se retirer de l’ensemble de leur investissement en France suite à la récente mise en examen de Nasser Al-Khelaïfi. Mais en direct sur RMC Sport, Jérôme Rothen a donné des informations rassurantes à ce sujet pour les fans du PSG.

Le PSG et le Qatar, c’est bientôt la fin ? Le président Nasser Al-Khelaïfi a été mis en examen le 5 février dernier pour complicité d'abus de pouvoir, et cette nouvelle aurait provoqué la colère des investisseurs qataris qui menaceraient désormais de vendre le PSG et mettre un terme à l’ensemble de leurs investissements sur le territoire français en guise de représailles. Mais qu’en est-il vraiment ?

Rothen rassure pour le Qatar au PSG

En direct dans son émission Rothen s’enflamme sur RMC Sport, Jérôme Rothen a livré quelques informations exclusives sur cet épineux sujet : « Si on était sûr que les Qataris se retirent de tout, ce serait une catastrophe. Maintenant, ce n’est pas le cas (…) Le désinvestissement en France a lieu depuis pas mal de mois de la part des Qataris. Ils ont vendu 12% des parts du Paris Saint-Germain aux Américains. Donc ça, ça montre déjà qu’ils se sont un peu retirés. Ils gardent un grand pouvoir. Ce club est déjà valorisé à quasiment 4 milliards aujourd’hui. Donc ça montre à quel point ils ont investi et c’est difficile de se retirer d’un tel investissement », annonce l’ancien joueur du PSG.

« On me l’a dit, ils n’ont aucune envie de se retirer »

Rothen cite des sources interne au PSG indiquant que le Qatar n’avait aucunement l’intention de lâcher le club : « En plus je le redis car on me l’a dit aujourd’hui, ils n’ont aucune envie de se retirer du Paris Saint-Germain. Mais il n’empêche qu’il y a déjà 12% qui sont partis chez les Américains. Donc quand tu me parles de désinvestissement, ça a déjà commencé. Ce serait une catastrophe si les Qataris se retiraient. Mais je viens de vous le dire, ils ne vont pas se retirer ». Voilà qui est clair.

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