Après le large succès du PSG face à l'OL dimanche soir, Marquinhos a été mis à l'honneur au Parc des Princes apès son record historique du nombre de matchs disputés au club. Une véritable renaissance pour le capitaine brésilien qui était pourtant dans la tourmente il y a peu de temps, et Mickaël Landreau estime qu'il a profité de la révolution en interne pour redresser la barre.
Marquinhos n'a pas caché son émotion dimanche soir après PSG-OL (4-1), lui qui était fêté par le Parc des Princes pour son nouveau record de 438 matchs officiels disputés sous le maillot parisien : « J’ai vécu beaucoup de moments avec ce club. Il y a eu des moments difficiles, d’autres très bons moments. Il faut profiter parce que tout passe très vite dans le football. Je suis au club depuis onze ans désormais, 438 matches… C’est incroyable. Quand je suis arrivé, je n’aurais jamais pensé autant jouer dans ce club. Je profite du moment. Il faut profiter des bons moments dans la vie », a indiqué le capitaine du PSG au micro de Prime Video. Pourtant, il y a encore quelques mois, Marquinhos était vivement critiqué pour son niveau de jeu et sa capacité à perdre pied dans les matchs importants.
PSG : Après Barcelone, Luis Enrique donne un ordre au vestiaire https://t.co/hJhc9Fu9Wj pic.twitter.com/OB3V7V2Vsu
— le10sport (@le10sport) April 22, 2024
Landreau heureux pour Marquinhos
Dans le Canal Football Club, Mickaël Landreau s'est enflammé pour ce retour au premier plan de Marquinhos : « Ce qui est très intéressant avec Marquinhos, c’est sa qualité de match contre le Barça. On avait envie de revoir Marquinhos à ce niveau-là, défensivement notamment. Il a fait du bien. Je trouve que ça peut être très pertinent de pouvoir garder ce genre de joueurs qui sont passés par plein d’émotions et qui ont su relever la tête », indique l'ancien gardien du PSG, qui estime que l'international brésilien a su profiter de la grosse révolution en interne dans l'institution pour retrouver de la confiance.
« L’institution est enfin protégée »
« Mais ils peuvent relever la tête que parce que l’institution est enfin protégée. Et c’est ce qui se dégage. Luis Enrique et Campos permettent à nouveau d’avoir un cadre pour que les joueurs puissent s’y retrouver aussi. Et lui avait besoin de ça », poursuit Landreau.