Marquinhos est récemment devenu le joueur le plus capé de l'histoire du PSG. Le capitaine parisien est présent au club depuis 2013, et il a donc certaines anecdotes à raconter. En 2017, il a par exemple quitté le Parc des princes dans la précipitation, après un match de Ligue des champions, pour assister à la naissance de sa fille.
Depuis 1989, Jean-Marc Pilorget était le joueur le plus capé de l'histoire du PSG. Mais l'ancien défenseur s'est récemment fait ravir ce titre par un joueur qui évolue à Paris depuis 2013, Marquinhos. Le Brésilien a déjà disputé 437 matches avec le club de la capitale, et ce total pourrait bien grandement augmenter à l'avenir.
Le jour où Marquinhos a dû quitter le Parc des princes dans la précipitation...
En 437 matches sous les couleurs du PSG, Marquinhos a quelques anecdotes à raconter. Pour Le Parisien, l'actuel capitaine du club de la capitale a notamment raconté le jour où il avait dû quitter le Parc des princes dans la précipitation, après un match de Ligue des champions face à Anderlecht, pour aller assister à la naissance de sa fille. « Ce jour-là, Carol était enceinte, le bébé était presque là, mais c’était un match important de Ligue des champions et elle voulait aller au stade. Je lui ai dit : « ok, vas-y, mais reste tranquille car je ne veux pas partir en plein match. » On avait fait un match de fou, Layvin (Kurzawa) inscrit trois buts (Le PSG a battu Anderlecht 5-0 ce soir-là) Nous étions tous joyeux, tous contents, nous avons célébré avec les supporters et comme d’habitude je termine en passant devant la tribune où ma famille est installée. »
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— le10sport (@le10sport) April 20, 2024
«Je vois mon frère faire des mouvements bizarres»
Alors que Marquinhos célébrait donc la victoire avec les supporters du PSG, c'est son frère Luan qui l'a alerté, pour lui faire comprendre que sa femme était partie à l’hôpital. Le Brésilien s'est alors pressé, afin d'aller assister à l'heureux évènement. « Je vois mon frère faire des mouvements bizarres, il est différent, je ne comprends pas. Il commence à crier : « Viens, vas-y ! », mais je ne l’entends pas, je vois seulement des grands gestes étranges. Je me rapproche et il me fait un signe (il mime un ventre arrondi). Je me dis qu’il y a un truc donc je cours. Dans le tunnel du Parc, des gens du staff m’attendent et me disent : prends rapidement ta douche, Carol est partie à l’hôpital. Je prends ma douche en deux minutes et je pars à l’hôpital. On a passé la nuit là-bas et notre première fille Maria Eduarda est née. C’est un des plus beaux moments de ma vie. »