Pendant ses quatre saisons au PSG, Thomas Meunier a eu l'occasion de vivre de folles soirées parisiennes avec ses coéquipiers. Comme l'a expliqué le nouveau pensionnaire du Borussia Dortmund, les anniversaires de certains de ses partenaires étaient dans la «démesure».
En fin de contrat depuis le 30 juin, Thomas Meunier a quitté le PSG, les strass et les paillettes pour rejoindre le Borussia Dortmund et un environnement plus posé. Lors d'un entretien accordé à chaine belge La Deux, l'arrière droit de 28 ans est revenu sur son passage dans le club de la capitale, où il a pu vivre des soirées endiablées avec ses coéquipiers. Comme l'a reconnu Thomas Meunier, il n'était pas habitué à être dans la «démesure».
«C'est la démesure, c'est un peu Dikkenek»
« Rien que les fêtes d'anniversaires, c'était quelque chose d'incroyable. Incroyable ! Là où à Bruges, pour un annif, on payait un coup dans un bar et on faisait des flèches jusqu'à 6 heures du matin ou un billard. Ici, c'est la démesure ! Mais ça ressemble au club. C'est louer un palais, louer un bâtiment, faire une fête avec des dizaines de centaines de personnes. Ce sont des vedettes ! C'est là qu'on voit que ce sont plus que des joueurs de football. Je trouve ça dingue. À toutes celles où je suis allé, je me suis toujours super bien amusé. C'était quelque chose de neuf pour moi de pouvoir découvrir ce monde un peu... C'est un peu Dikkenek (expression bruxelloise qui signifie vantard) quoi, c'est un peu m'as-tu-vu mais ça fait partie du truc, ça fait partie du jeu. Que veulent les jeunes ? Une belle voiture, une belle femme, Instagram, la visibilité, l'image, ils veulent la reconnaissance etc. et ça, ce sont des trucs de footballeurs. Rouler en Bugatti et tout et tout. Ce n'est pas être joueur de football ! Et elle est là la différence. Et ici, dans ce genre de situation, être footballeur, c'est ça ! C'est Paris, c'est la démesure, ce sont les discothèques, les dîners, les fêtes d'anniversaire », a-t-il précisé.