PSG : Le Qatar lâche une offre indécente, la grosse révélation
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Nasser Al-Khelaïfi ne s'en cache plus, il espère que le PSG changera prochainement de stade. Il faut dire que le Qatar espère devenir propriétaire de son stade et qu'il soit doté d'une plus grande capacité que les 48 000 places du Parc des Princes. Néanmoins, par le biais de Pierre Rabadan, la Mairie de Paris fait de grosses révélations.

«La proposition était vraiment inacceptable»

« Oui, j’ai été un peu surpris du timing. Clairement. Et aussi de la manière de présenter le scénario par le président du PSG, en disant que c’est la Mairie qui amenait à la situation actuelle et qui poussait le club à réfléchir à d’autres alternatives. Ça fait plusieurs mois maintenant que nous travaillons ensemble sur le projet d’agrandissement du Parc. Le club nous a demandé s’il pourrait devenir propriétaire dans cette perspective d’accroissement de capacité d’accueil du Parc du Princes. Nous n’étions pas vendeurs mais en tant que partenaire du club nous nous sommes engagés à étudier l’ensemble des possibilités. Plusieurs ont été évoquées. On a demandé au club de nous faire une proposition. Mais elle était vraiment inacceptable et les discussions se sont arrêtées là depuis. La question d’une vente n’a donc plus été évoquée tellement le montant n’était pas réaliste », assure-t-il dans les colonnes du Parisien.  

«On pourra toujours batailler sur ce que vaut le Parc des Princes»

Relancé sur le fait que de son côté, le PSG estime que c'est la Mairie de Paris, Pierre Rabadan en rajoute une couche. « On pourra toujours batailler sur ce que vaut le Parc des Princes. Mais je peux vous dire que la proposition que le club nous a transmise n’était pas à la hauteur. Elle n’ouvrait à aucune discussion tellement on était loin de quelque chose de réalisable », ajoute-t-il.

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