Ce dimanche soir, l’OM accueille le PSG au Vélodrome dans un choc qui pourrait se jouer chez les ailiers. En grande forme depuis le début de saison, Mason Greenwood et Ousmane Dembélé sont essentiels pour leurs coachs respectifs. Selon Daniel Moreira, la formation de Luis Enrique n’est clairement plus la même lorsqu’orpheline de son numéro 10.
Dimanche soir, le numéro 10 du PSG sera attendu au tournant. Auteur d’un très bon début de saison, Ousmane Dembélé a déçu face au PSV Eindhoven ce mardi soir en Ligue des Champions (1-1). Très maladroit devant le but, l’ailier de 27 ans réalise pourtant un départ canon avec quatre buts en huit matchs de championnat. Interrogé par le Parisien, l’ancien international Français (2002-2004) Daniel Moreira estime que Dembélé serait le meilleur joueur du monde avec une bonne finition.
«Je serais quintuple champion d'Europe», un ancien du PSG se paye le Qatar ! https://t.co/eW08bxm3zv pic.twitter.com/6sdgky5JcK
— le10sport (@le10sport) October 26, 2024
« Il y a toujours un truc qui ne va pas lorsqu’il s’approche du but »
« On l’a encore vu mardi soir contre le PSV Eindhoven, il y a toujours un truc qui ne va pas lorsqu’il s’approche du but. S’il pouvait marquer au moins une fois tous les quinze jours, il serait le meilleur joueur du monde ! Il est tellement déroutant, mais il manque un peu de justesse alors que Greenwood est beaucoup plus adroit », a lâché l’ancien buteur du RC Lens, qui estime que Dembélé est indispensable pour Paris.
« Lorsqu’il n’a pas joué contre Arsenal, on a vu que le jeu de Paris n’était plus du tout le même »
« Je sens Dembélé plus dangereux. Lorsqu’il n’a pas joué contre Arsenal, on a vu que le jeu de Paris n’était plus du tout le même. Il n’a pas la frappe de Greenwood qui est plus clinique, plus fort pour marquer, mais il peut passer n’importe quel adversaire. Même son ombre, il est capable de la dribbler ! Le seul hic, c’est vraiment ce déchet qu’il peut avoir face au but. Il l’avait bien fait en début de saison, moins maintenant. Mais, même quand il ne marque pas, on sent qu’il peut faire mal à l’adversaire », conclut-il.