OM/PSG : «A côté de la plaque», il a menti !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Après la victoire du PSG contre l’OM (2-0), Benoit Bastien, l’arbitre de la rencontre, était allé justifier ses décisions au micro du diffuseur. Les deux décisions les plus marquantes concernent l’expulsion de Lucas Beraldo et le but refusé à Jordan Veretout. Mais Christophe Dugarry n’est absolument pas convaincu par les explications de l’arbitre.

Le Classique entre l'OM et le PSG aura une nouvelle fois été marqué par une polémique d'arbitrage. En effet, l'expulsion de Lucas Beraldo a d'abord largement été commentée, tout comme le but refusé à Jordan Veretout à cause d'un hors-jeu de Luis Henrique. Après la rencontre, Benoit Bastien est venu justifier ses choix, mais visiblement, il n'a pas convaincu Christophe Dugarry.

Dugarry pas convaincu par les explications de l’arbitre

« Aujourd'hui il nous explique le pourquoi du comment après le match. Il justifie pourquoi il a pris ses décisions. Pour moi, ses décisions ne sont pas bonnes, il commet deux erreurs dans l'interprétation. Et une nouvelle fois, on comprend quand il nous explique tout ça qu'il y a une interprétation du règlement qui est faite », regrette le champion du monde 1998 au micro de RMC, avant d’en rajouter une couche.

«S'ils viennent en expliquant qu'ils sont les plus grands, les plus forts, les plus beaux, ça n'a aucun intérêt»

« La notion de la gêne du gardien sur le but de Veretout, la notion de l'attaquant qui part sur le côté et que le défenseur ne pourra pas rattraper. Toute son analyse est faussée, à côté de la plaque, elle n'est pas bonne. J'espère que les choses vont évoluer dans le bon sens avec le fait qu'ils parlent. Parce que c'est s'ils viennent pour justifier leurs décisions en expliquant qu'ils sont les plus grands, les plus forts, les plus beaux, ça n'a aucun intérêt. Il y a un second temps après ça », ajoute Christophe Dugarry.

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