L’entraîneur du PSG impliqué dans une grosse bagarre ? Il raconte
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Aujourd’hui, Christophe Galtier est l’entraîneur du PSG. Avant d’officier sur les bancs de touche, le natif de Marseille a connu une belle carrière de joueur. Il y a d’ailleurs eu certains moments chauds comme lors de cet OM-Monaco où cela a chauffé entre Galtier et Marcelo Gallardo. David Trezeguet a d’ailleurs raconté cet accrochage. 

Avant d’être au PSG, Christophe Galtier a connu de nombreux moments… à l’OM. Natif de la cité phocéen, il a été formé à Marseille et y a joué en professionnel de 1985 à 1987, puis de 1995 à 1997, avant d’être entraîneur intérimaire en 2000. Et c’est quand il était sur le banc de l’OM que ça a chauffé entre Galtier et Marcelo Gallardo lors d’une rencontre face à l’AS Monaco. A l’occasion d'un entretien accordé à L’Equipe, David Trezeguet, ancien attaquant du club de la Principauté, est revenu sur cette bagarre. 

« Il y a eu cette bagarre dans le tunnel »

« La plus grosse bagarre ? Marseille-Monaco (le 7 avril 2000), un match chaud dans l'ambiance toujours incroyable du Vélodrome ! On était proches de gagner le Championnat et Marseille était très mal à cette époque, ils jouaient le maintien. On perd 1-0 à la mi-temps et il y a eu cette bagarre dans le tunnel », explique David Trezeguet, présent lors de cet OM-AS Monaco

« Ç'a été un moment pénible pour le football »

L’ancien de l’AS Monaco raconte ensuite : « Les Marseillais ont attendu Gallardo pour le coincer. Et il a pris un rouge (ainsi que Christophe Galtier, entraîneur adjoint de l'OM, pour échange de coups). On ne sait toujours pas pour quel motif, c'était lui la victime ! En deuxième mi-temps, on est à dix et on est menés 2-0... On égalise 2-2 et on perd 4-2. Ils ont tout fait pour gagner, ils étaient conscients qu'au niveau de la qualité de jeu, ils n'étaient pas à la hauteur. Dommage... Ç'a été un moment pénible pour le football ». 

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