«Deux tapes sur les fesses» : Un joueur du PSG dérape avec le président de la République !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Joueur du PSG de 1989 à 1999 puis de 2001 à 2003, Francis Llacer a disputé plus de 200 matchs avec le club de la capitale. Ayant de très nombreux souvenirs de ces passages à Paris, l’ancien défenseur a raconté certaines anecdotes étonnantes. Il a notamment été question d’un étrange comportement de Pascal Nouma avec Jacques Chirac, alors président de la République.

Avant la Ligue des Champions, le PSG avait déjà remporté une Coupe d’Europe. En effet, en 1996, le club de la capitale s’était offert la Coupe des Coupes en s’imposant face au Rapid Vienne. Un succès suite auquel les Parisiens avaient été reçus par Jacques Chirac, alors président de la République, à l’Elysée. Joueur du PSG de l’époque, Francis Llacer a d’ailleurs un souvenir complètement fou de cette réception.

Llacer marqué par Pascal Nouma !

Que s’est-il donc passé à l’Elysée avec Jacques Chirac ? Pour L’Equipe, Francis Llacer a d'abord raconté : « Le joueur le plus drôle que j’ai croisé ? Pascal (Nouma), avec qui j'étais en centre de formation au PSG, que je considère comme mon frère. C'est d'ailleurs lui qui avait trouvé mon surnom, « Cisco » ».

« Au moment de serrer la main du chef de l'État, Pascal lui a mis deux tapes sur les fesses »

L’ancien joueur du PSG a ensuite balancé à propos de celui qui était son coéquipier : « Lors de la réception à l'Élysée qui a suivi notre victoire en finale de Coupe des Coupes, Jacques Chirac nous a salués un à un. Et au moment de serrer la main du chef de l'État, Pascal lui a mis deux tapes sur les fesses, en disant : « Salut président ! » J'ai raconté cette anecdote à Pascal au téléphone récemment et il m'a dit : « Non, je n'ai pas fait ça quand même ! ».

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