OM : Aubameyang, Papin… C’est le feu à Marseille, il réclame une folie
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Pour ses débuts à l’OM, Elye Wahi ne répond pas aux attentes suscitées par son transfert à 30M€. Conspué lors de son remplacement pour sa première au Vélodrome, l’ancien joueur du RC Lens a déçu après ses occasions ratées contre Reims. Et pour Éric Di Meco, il n’y a qu’une seule option pour inverser la tendance.

Elye Wahi se souviendra longtemps de ses débuts au Vélodrome. Mais pas pour les bonnes raisons. Et pour cause, contre Reims, l'ancien avant-centre du RC Lens a manqué de nombreuses occasions avant d'être conspué lorsqu'il a quitté la pelouse, remplacé par Jonathan Rowe. Elye Wahi va donc devoir redresser la barre et pour y parvenir, Eric Di Meco connaît la méthode.

Wahi conspué au Vélodrome

« Roberto De Zerbi, quand il dit que le stade est fabuleux, que le public est fabuleux, tu ne peux pas avoir les bons côtés avec le mariage et jamais les mauvais côtés, les enterrements. Le mauvais côté de cette ferveur, c’est que malheureusement quand tu vendanges quatre occasions, dont trois penalties parce que pour moi il y en a trois, c’est pas possible! Voilà! C’est-à-dire que le ballon qui lui revient dessus et qu’il le remet du plat du pied ou du talon et que ça part au-dessus, ou le face à face… Je ne suis pas énervé mais je suis passionné », assure l’ancien joueur de l’OM au micro de RMC.

«Papin, ça a été dur au début, Aubameyang on en a parlé»

Néanmoins, Éric Di Meco rappelle que dans l’histoire de l’OM, de grands attaquants ont connu des débuts difficiles avant de redresser la barre : « La chance des attaquants et notamment des avant-centres, c’est que dès que tu mets trois buts, c’en est fini de la bronca. Jean-Pierre Papin, ça a été dur au début, Aubameyang on en a parlé… et je peux en citer des dizaines et des dizaines ». Elye Wahi sait donc ce qui lui reste à faire.

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