Chambré par Faris Moumbagna sur les réseaux sociaux, Daniel Riolo s'est dit amusé de la story qu'avait publiée l'attaquant de l'OM. En revanche, le journaliste n'a pas manqué de fustiger l'attitude de ceux qui ont relayé des propos erronés, rappelant qu'il n'avait jamais rien au sujet de l'international camerounais.
Galtier à l’OM, c’est déjà validé ! https://t.co/T9S0TWulsj pic.twitter.com/NGr3bTkczz
— le10sport (@le10sport) March 29, 2024
Riolo se justifie pour Moumbagna
« Plus les gens prennent une connerie au premier degré, plus j’ai envie d’enfoncer le clou. Je combats la connerie. Et ceux qui m’exaspèrent sont ceux qui disent que je fais du buzz. Mais, ce n’est pas ça. Moi je me venge du buzz. Cette histoire est née du buzz et des connards sur les réseaux sociaux qui ont relayé quelque chose que je n’avais pas dit. Je n’ai jamais parlé directement de ce joueur. Il est arrivé et j’ai juste dit "les échos qu’on en a actuellement, c’est que ce n’est pas terrible". Voilà la seule phrase », explique le journaliste de RMC, invité de l'émission L'OM au Café sur la chaîne Twitch du Phocéen, avant d'en rajouter une couche.
«Les réseaux sociaux de m*rde ont commencé»
« Derrière, il y a eu un embrasement des réseaux sociaux. Je n’avais jamais vu jouer ce joueur. De là, les réseaux sociaux de merde ont commencé à inventer n’importe quoi, donc dans la foulée, j’ai fait exprès d’enfoncer le clou en disant "ok, il veulent jouer à ça, on va y aller". Vous voulez jouer aux cons, on va jouer aux cons. Moi ça me fait marrer (…) Après j’ai fait exprès de dire que j’allais me plaindre auprès du club quand il a mis la chanson. Qu’est-ce que j’en ai à foutre, ça m’a fait marrer. En plus quand je suis dans une chanson, je suis content. Moi ça m’a fait marrer. Je m’en fous de Moumbagna, je ne l’ai jamais vu jouer. Mais il a été con. Que ce soit lui directement ou les gens qui ont relayé, déjà, ils auraient pu se renseigner sur ce que j’ai réellement dit. Donc réagir de cette façon avec des insultes, je trouve que ce n’est pas très malin, parce que moi je n’ai rien dit de lui. Donc quelque part, c’est lui qui a commencé, moi je n’ai rien dit », ajoute Daniel Riolo.