Départ refusé à l’OL : Il sort du silence après la polémique !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Alors qu’il a été accusé par la Fédération slovaque d’avoir refusé de rejoindre sa sélection, Dominik Greif a donné sa version des faits. Le nouveau gardien de l’OL, arrivé cet été en provenance de Majorque, a assuré qu’il voulait bel et bien rejoindre la Slovaquie, mais que son absence est le résultat d’un problème logistique.

Convoqué par la Slovaquie lors de cette trêve internationale, Dominik Greif « a refusé de venir au rassemblement de l’équipe nationale », a affirmé Monika Jurigová, responsable des relations presse de la sélection slovaque. Face aux faits qui lui sont reprochés, le gardien de l’OL a tenu à donner sa version des faits.

« Je n’ai absolument pas refusé de représenter comme on l’a dit »

« Je n’ai absolument pas refusé de représenter comme on l’a dit. J’ai seulement pris la liberté de demander à conserver le programme initial qui était prévu pour moi. J’étais enthousiaste à l’idée de cette nomination. Le lendemain, j’ai été contacté par le directeur technique avec lequel j’ai organisé le vol et tout s’est bien passé. Je ne sais pas comment la fédération est arrivée à l’heure de 16h30. En tout cas, je trouve banal que l’on parle de minutes. Je leur ai demandé de respecter l’horaire, car la veille du match l’équipe nationale m’a contacté pour me dire que l’arrivée à Budapest est tardive, car il y a une vidéo à 15h30, à laquelle tout le monde doit être présent », a expliqué Dominik Greif, dans des propos relayés par So Foot.

« Tout cela pour arriver deux, voire trois heures plus tôt à Senec, ce qui me paraît absurde »

Si la Fédération slovaque a indiqué lui avoir donné trois options différentes pour rejoindre sa sélection, le portier de l’OL assure qu’il « n’y en a pas eu trois, il y en a eu deux qui m’ont été proposées. Après mon duel, prendre le train pour Genève dans la nuit et de là prendre l’avion pour Vienne le matin, ou aujourd’hui (lundi, NDLR) 3h30 pour le vol du matin pour déposer mes bagages à 5 heures et partir pour Bruxelles à 7 heures. Et tout cela pour arriver deux, voire trois heures plus tôt à Senec, ce qui me paraît absurde quand on parle d’un tel décalage horaire. »

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