L’ASSE ne se sera finalement pas éternisée en Ligue 1. Ayant fini à la 17ème place, les Verts n’auront même pas disputé les barrages, étant ainsi relégués directement en Ligue 2. Une relégation qui a bien évidemment attristé les fans des Verts, mais pas seulement… En effet, Laure Boulleau a également fait part de sa peine de voir l’ASSE redescendre à l’échelon inférieur.
La saison prochaine, on aura donc 3 promus en Ligue 1. En effet, Lorient, le Paris FC et Metz ont validé leur montée tandis que Montpellier, l’ASSE et Reims n’ont pas pu empêcher la catastrophe et la relégation. Les Verts retrouvent donc déjà la Ligue 2. De quoi peiner tout le monde à Saint-Etienne, mais également Laure Boulleau comme a pu expliquer l’ancienne joueuse du PSG dans des propos accordés au Progrès.
« Je suis assez triste de les voir descendre »
Parmi ceux qui sont peinés de la relégation de l’ASSE, on retrouve donc Laure Boulleau. La désormais consultante sur Canal+ a fait savoir à propos de la situation des Verts : « Je suis assez triste de les voir descendre. D’autant que cela se fait au début d’un nouveau projet. Comme beaucoup de clubs, il y avait un besoin de reconstruction petit à petit qui n’avait pas été fait. J’ai l’impression que le projet est structuré, mais fatalement quand je vois ce qu’il se passe avec les investisseurs nord-américains en France, notamment Bordeaux et dans une moindre mesure, Lyon, je flippe toujours un peu. Je ne demande qu’à voir. Leur coach avait de bonnes idées, mais sans doute trop ambitieuses en Ligue 1 avec cet effectif ».
Horneland a convaincu Boulleau !
« S’ils arrivent à construire un bon effectif de Ligue 2, pourquoi pas. Au moins, je trouve qu’Eirik Horneland a, en termes de vision et de jeu, quelque chose à amener dans l’ADN de l’ASSE. Quand on est entraîneur et qu’on a des idées de jeu, je pense qu’il faut être lucide sur la qualité de l’effectif et ses caractéristiques. Pour moi, face à la difficulté du maintien, le pragmatisme est l’une des grandes qualités et il doit l’emporter sur la volonté de jeu », a poursuivi Laure Boulleau.