Les résultats de l’audit sont donc tombés à la Fédération française de football et désormais, on attend de savoir ce qui sera décidé pour Noël Le Graët. Aujourd’hui mis en retrait de ses fonctions de président de la FFF, il pourrait bien devoir laisser sa place. Mais qui pourrait ensuite venir le remplacer ? Le nom de Michel Platini a circulé. Problème, cela ne serait visiblement pas dans ses plans.
Et si le football français était sauvé par une de ses légendes ? Cela fait maintenant plusieurs semaines que la polémique frappe la FFF et Noël Le Graët. Tout est parti de son dérapage sur Zinedine Zidane et le voilà aujourd’hui toujours plus proche d’un départ. Alors que Le Graët pourrait bien être forcé à démissionner, cela donnerait lieu à l’élection d’un nouveau président de la Fédération française de football. Plusieurs noms circulent pour cela, dont celui de Michel Platini, l’ancienne gloire de l’équipe de France.
«Ça irait mieux si je me tapais une grande blonde», elle balance sur Le Graët https://t.co/Z64nXwRY1a pic.twitter.com/TocwdPQ0Xi
— le10sport (@le10sport) February 16, 2023
Platini, futur président de la FFF ?
Certains veulent d’ailleurs voir Michel Platini à la tête de la FFF. Comme le10sport.com vous l’avait révélé début janvier, des choses se sont mises en place à ce sujet en coulisses. En effet, il existait un lobbying pour propulser l’ancien joueur de l’équipe de France à la place de Noël Le Graët. Et pour cela, Platini pouvait d’ailleurs compter sur de gros soutiens à l’instar de Denis Olivennes et Daniel Kretinsky.
« J’en ai parlé avec lui… »
Mais voilà que les chances de voir Michel Platini président de la Fédération française de football seraient minces. Et c’est Jacques Vendroux, un proche du Français, qui l’a expliqué. Dans des propos accordés à 20 Minutes, le journaliste a lâché : « Mon favori est évidemment Michel, parce que je considère que c’est l’homme de la situation, qui sera capable de faire consensus autour de lui, par rapport à tout ce qu’il a déjà fait. J’en ai parlé avec lui, et non, il n’a pas très envie de revenir. Mais si on lui demande de revenir dans l’intérêt de la France, il va revenir ».