Karim Zeribi a sorti les crocs. Critiqué tout au long de la semaine en raison de sa sortie sur Didier Deschamps et sa supposée aversion pour les joueurs d'origine algérienne, l'ancien député européen a contre-attaqué, ciblant notamment Pierre Ménès qui l'avait qualifié d'« extrémiste ». Au micro de Sud Radio, il a évoqué une possible plainte pour diffamation.
Au micro de Sud Radio, Karim Zeribi a lâché une grave accusation sur Didier Deschamps. Régissant à la non convocation de Rayan Cherki et Maghnès Akliouche, l’ancien députée européen avait sous-entendu que le sélectionneur ne les avait pas convoqué en raison de leur origine algérienne. Ces propos ont été énormément commentés, notamment par Pierre Ménès. L’ancien journaliste avait qualifié Zeribi d’« extrémiste ».
Zeribi sort les casseroles de Ménès
Au micro de Sud Radio, Zeribi n’a pas épargné Ménès. « Il est insignifiant ce garçon. Il n’a jamais tapé dans un ballon de sa vie, il a les pieds carrés. J’ai fait les classes sport-études, j’ai été en centre de formation, j’ai été stagiaire professionnel, je peux parler football. Au nom de quoi il peut parler football. Et puis le garçon, le nom que tu me sors… Il a été condamné pour harcèlement de ses collaborateurs » a-t-il confié.
Une plainte va être déposée
Cette affaire est peut-être loin d’être terminée puisque Zeribi se réserve le droit de déposer une plainte. « Il y a un gars qui travaillait avec lui Emmanuel Trumer qui dit dans le Nouvel Obs qu’il utilisait le terme de « bougnoule » pour parler des agents de joueur. Et ce gars ose parler de moi !? Qu’il arrête de me salir, il est déjà tellement sale. Qu’il se cache. Je pourrais porter plainte pour diffamation contre ce gars. Il m’a traité d’extrémiste, je n’accepte pas les propos de cet homme que je ne connais pas et avec qui je n’ai aucune affinité » a-t-il lâché.