En marge du Comex de la FFF qui a vu Noël Le Graët se mettre en retrait de ses fonctions de président de la Fédération, Vincent Labrune avait assuré que «le statu quo n’est pas une option». Pour Daniel Riolo, le président de la LFP avait alors vendu la mèche avant même l'annonce officielle.
Scandale FFF : Coup de tonnerre pour l'avenir de Le Graët https://t.co/D9kVUQpOQc pic.twitter.com/vxbYlgEhRf
— le10sport (@le10sport) January 19, 2023
Le discours fort de Labrune
« Je sais que, en ce qui me concerne, le statu quo n’est pas une option. J'espère que mes camarades ont conscience de l'environnement et des enjeux qui sont ceux du football français », confiait alors le président de la LFP et membre non-votant du Comex. Pour Daniel Riolo, cette phrase n'avait rien d'anodin et annonçait même la suite des évènements.
«On savait que Le Graët allait se mettre en retrait»
« Il est en train de transformer le football français, a fait cette ouverture de capitale pour la première fois, fait entrer de l’argent dans les clubs. Il a donc eu une action concrète pour nos clubs. Il repense la compétition en passant la Ligue 1 à 18 clubs. Il est évidemment sur le podium, c’est obligatoire. S’il parle, c’est important. On est obligé de considérer sa parole même dans l’affaire Le Graët. Quand il a dit "le statu quo n’est pas envisageable", on savait que Le Graët allait se mettre en retrait », confie l'éditorialiste de RMC au micro de l'After Foot.