«Ils me plaisent» : La révolution Mbappé est actée, il annonce du lourd
Arnaud De Kanel

Suite à la retraite internationale d'Hugo Lloris, Kylian Mbappé a été nommé capitaine de l'équipe de France. L'attaquant du PSG a repris les rênes de la sélection et accompagne avec lui toute une équipe pétrie de talent et très séduisante face aux Pays-Bas ce vendredi soir. De quoi satisfaire Daniel Riolo. 

L'équipe de France a débuté une nouvelle ère ce vendredi face aux Pays-Bas. Cette nouvelle page bleue s'écrit avec Kylian Mbappé en capitaine et guide d'une génération promise à un avenir radieux. De plus, une sympathie ressort de cette bande de jeunes et elle donne l'envie de les accompagner vers les plus grands succès. C'est ce qu'a remarqué Daniel Riolo qui se réjouit que les heures sombres de l'équipe de France soient derrière elle.  

Riolo est sous le charme des Bleus

« J'avais dit pendant la Coupe du Monde que je trouvais cette génération de jeune gars assez épatante. On a quand même eu des jeunes joueurs qu'on critiquait beaucoup, même quant à ce qu'ils représentaient, ce qu'ils affichaient et même leur façon de parler . On les trouvait souvent désagréable. On n'est pas tous pareil dans une société comme la France et on a tous des sensibilités différentes, et y'en avait qui pouvaient être heurté par leur façon de se comporter ou de parler, mais là j'ai vraiment l'impression qu'on a une bande de jeunes gars formidable. Ils s'expriment bien. Quand ils parlent, ils cherchent pas à manier la langue de bois qui leur fait faire des formules à la con à l'arrivée. Moi ils me plaisent », a constaté Daniel Riolo dans l'After Foot, avant de poursuivre. 

«T'as le droit d'être jeune et de ne pas être un petit merdeux»

« Pendant longtemps on me disait : "tu n'es pas indulgent alors qu'ils sont jeunes". Oui, mais à l'image de ce que disait Mbappé très tôt : T'as le droit d'être jeune et de ne pas être un petit merdeux. Et des petits merdeux on en a trainé pendant longtemps en équipe de France. (...) Il y en a pas mal qui sont partis assez vite et quand ils se retrouvent dans le bain de clubs à l'étranger, je pense que c'est pas plus mal. Je ne suis pas sur que notre société favorise l'accomplissement des sportifs de haut niveau », a-t-il ajouté sur les ondes de RMC

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