Équipe de France : Révélations croustillantes après la Coupe du monde au Qatar
Pierrick Levallet

Encore une fois, l'Équipe de France a fait rêver toute une génération de supporters. Finalistes de la Coupe du monde au Qatar, les Bleus se sont inclinés face à l'Argentine, après un très beau parcours et une rencontre ahurissante face à l'Albiceleste. Pourtant, rien n'était gagné d'avance dans la sélection de Didier Deschamps, où aucune harmonie ne régnait contrairement à 2018.

En 2018, l’Équipe de France a fait rêver toute une génération de supporters. Sacrés champions du monde, les Bleus semblaient être en parfaite harmonie. La cohésion de groupe était excellente et a mis l’équipe de Didier Deschamps dans les meilleures conditions pour aller chercher la deuxième étoile. Cette année, l’Équipe de France a encore fait rêver du monde. La sélection tricolore n'était pas loin d'aller décrocher son troisième titre. Mais après la défaite en finale face à l’Argentine, quelques révélations commencent à filtrer sur l’entente en interne.

Aucune alchimie chez les Bleus avant le début du Mondial

D’après les dernières indiscrétions du journaliste Romain Molina sur sa chaîne YouTube, le pessimisme était de mise en interne avant le début de la Coupe du monde. Si certains joueurs croyaient en leurs chances, d’autres ne se voyaient pas aller très loin dans ce Mondial au Qatar. Par ailleurs, le groupe n’était pas vraiment soudé au départ. Sans se détester pour autant, les joueurs de Didier Deschamps n’avaient pas vraiment d’alchimie entre eux. Quelques clans s’étaient même formés et certains jugeaient que l’équipe était communautarisée.

Benzema forfait, des cadres s’en sont réjouis

Comme un symbole, le cas de Karim Benzema a beaucoup fait jaser en interne. Certaines rumeurs affirmaient que le groupe vivait bien mieux avec le départ de l’attaquant du Real Madrid, contraint de déclarer forfait. Romain Molina a même indiqué que quelques cadres se réjouissaient du forfait de Karim Benzema, à l’instar d’Hugo Lloris ou d'Antoine Griezmann. Contrairement à 2018, l’ambiance n’était pas particulièrement très bonne dans le vestiaire des Bleus au Qatar.

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