Équipe de France : Deschamps réagit à ce clash qui a fait le buzz
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Pris en grippe par la presse anglaise avant le choc des quarts de finale entre les Three Lions et l’équipe de France, Hugo Lloris a répondu de la meilleure des manières samedi soir avec plusieurs parades décisives effectués au cours de la rencontre. Et Didier Deschamps n’a pas manqué de tacler les détracteurs du gardien tricolore…

Samedi soir, à l’occasion du quart de finale de Coupe du Monde disputé face à l’Angleterre (2-1) Hugo Lloris disputait sa 143e sélection avec l’équipe de France et est donc entré dans l’histoire, battant le record historique du nombre de caps chez les Bleus, détenu jusqu’ici par Lilian Thuram. Mais l’esprit du gardien des Bleus était très certainement ailleurs pendant cette rencontre, puisque Lloris a été pris en grippe par la presse britannique avant ce choc contre l’Angleterre.

Lloris, « le point faible » des Bleus…

En effet, même s’il évolue à Tottenham depuis maintenant plus de dix ans en parvenant à prouver sa valeur saison après saison en Premier League, Hugo Lloris a fait l’objet d’un certain lynchage médiatique, et certains tabloïds n’ont pas hésité à expliquer qu’il était même « le point faible de l’équipe de France » sur le terrain. Des attaques qui ont fait couler beaucoup d’encre, mais Hugo Lloris avait été clair en conférence de presse d’avant-match : « Ils ont leur opinion, il faudra répondre sur le terrain ». Et c’est ce que le capitaine de l’équipe de France à fait, multipliant les parades décisives samedi soir contre l’Angleterre.

« Il a été touché »

Interrogé au micro de Téléfoot dimanche matin, Didier Deschamps a réagi à ces attaques contre Hugo Lloris : « Il a été certainement touché, je ne dirais pas énervé. Selon ce qu’on m’a rapporté en conférence de presse, les médias anglais ont pointé du doigt Hugo, qui maintient son niveau de performance depuis une décennie. Après c’est toujours la même situation : un joueur français qui va dans un autre championnat et qui côtoie des adversaires. Il va retourner à Londres et vaut mieux qu’il rentre avec une victoire pour son pays », a indiqué le sélectionneur national.

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