Actuellement et depuis le 5 juillet dernier, Marion Rousse est sur France Télévisions pour commenter le Tour de France. Un rôle de consultante qu’elle va lâcher d’ici quelques jours pour enfiler une autre de ses casquettes. En effet, la compagne de Julian Alaphilippe va prochainement enfiler son costume de directrice du Tour de France femmes et Marion Rousse n’aura pas le temps de se reposer entre les deux événements.
Parmi toutes les casquettes de Marion Rousse, on retrouve notamment celle de directrice du Tour de France femmes. Aux commandes de l’événement depuis l’édition 2022, celle qui commente actuellement les hommes sur France Télévisions va donc diriger le peloton féminin. Le grand départ est ainsi prévu le 26 juillet de Vannes. Pour Marion Rousse, il n’y a pas de repos possible et il va ainsi falloir enchainer directement avec le Tour de France femmes.
« Tu tiens sur de la fatigue »
Invitée de La Chaine Pliante sur Instagram, Marion Rousse a d’ailleurs été interrogée sur cet « enchainement de l’enfer ». A ce propos, le directrice du Tour de France femmes a alors répondu : « C’est un enchainement de l’enfer ? En fait tu tiens sur de la fatigue, tu tiens sur de l’énergie, de l’excitation. Et puis c’est un rôle très différent. Je pense que je suis plus stressée à être directrice de course. Ça implique tellement de choses, tu as la responsabilité de l’épreuve et tu as tellement peur qu’il y a quelque chose qui se passe que je suis assez concentrée pendant toute l’étape »
« Diriger la plus belle course du monde, ce n’est pas un boulot, c’est une mission »
Diriger le Tour de France femmes, ça n’est pas de tout repos pour Marion Rousse. Elle avait notamment déjà confié concernant ce rôle : « Le plus stressant reste mon rôle de directrice du Tour de France femmes. Je veux évidemment que l’événement se déroule bien, et j’ai plus de responsabilité sur les épaules, même si j’ai aussi envie d’être au top pour commenter devant des millions de téléspectateurs. Quand on est directrice du Tour, on l’est tout au long de l’année. Durant la période où je suis consultante, lorsque je quitte le plateau de France Télévisions, j’ai bien souvent la visite d’un élu qui vient postuler pour une future étape du Tour de France femmes. En tant que directrice, j’incarne le Tour, je dois être disponible pour en parler. Christian Prudhomme (le directeur du Tour de France) le dit souvent. Diriger la plus belle course du monde, ce n’est pas un boulot, c’est une mission ».