Cela fait maintenant plusieurs années que Marion Rousse officie en tant que consultante. Ayant commencé à l’antenne sur Eurosport, la compagne de Julian Alaphilippe est désormais sur France Télévisions, commentant d’ailleurs actuellement le Tour de France. C’est notamment à cette occasion que Marion Rousse fait partager un talent inattendu.
Cela va bientôt faire une semaine que le Tour de France s’est élancé de Lille. Comme d’habitude, ce rendez-vous est diffusé sur les chaines du groupe France Télévisions et aux commentaires, on peut retrouver le trio formé par Alexandre Pasteur, Laurent Jalabert et Marion Rousse. L’ancienne championne de France de cyclisme est aujourd’hui reconnue comme l’une des meilleures consultantes. Ses analyses passionnent ainsi chaque jour de très nombreux téléspectateurs, qui ont d’ailleurs l’occasion de pouvoir profiter d’un talent de Marion Rousse.
« Je le reconnais au coup de pédale, à l’allure »
Pour actu.fr, Marion Rousse a évoqué l’une de ses capacités pour le moins inattendue. Capable de reconnaitre un coureur en un rien de temps, la consultante sur France Télévisions a confié : « J’ai la réputation de reconnaître en un clin d'œil l'ensemble des coureurs du peloton ? Je ne sais pas, ce n'est pas quelque chose que je travaille. Je le reconnais au coup de pédale, à l'allure, à un détail que j'ai remarqué. C'est à force de regarder du vélo. J'essaie d'en faire profiter les téléspectateurs ».
Un passé de cycliste qui aide…
Il faut dire que Marion Rousse peut compter sur son passé de cycliste professionnelle pour ses analyses. « Avoir été cycliste de haut-niveau, ça aide pour remarquer les détails ? Ça aide pour essayer de prévoir les scénarios de course et comprendre ce que cela fait d'avoir mal aux jambes. C'est bien beau de commenter des courses de vélo, mais il ne faut pas oublier la douleur que cela peut provoquer. Nous c'est facile, on est assis sur notre chaise donc on a le recul nécessaire pour prendre la bonne décision. Il ne faut surtout pas oublier comme ça fait mal, le vélo », explique-t-elle.