Présente sur tous les fronts entre son rôle de consultante pour France Télévisions et celui de directrice du Tour de France Femmes, Marion Rousse a un emploi du temps bien chargé, notamment cet été. Cependant, l'ancienne cycliste professionnelle refuse de se plaindre rappelant que dans sa famille, personne ne le faisait malgré des conditions de travail difficile.
Marion Rousse est sur tous les fronts. Consultante pour France Télévisions durant toute l'année, l'ancienne cycliste professionnelle est évidemment présente aux commentaires du Tour de France aux côtés d'Alexandre Pasteur et Laurent Jalabert. Mais ce n'est pas tout. Marion Rousse a une autre casquette qu'elle va rapidement reprendre à savoir celle de directrice du Tour de France Femmes dont le Grand Départ sera donné de Vannes le 26 juillet prochain. Autrement dit, la compagne de Julian Alaphilippe connaît un été bien rempli. Mais hors de question de se plaindre. Il faut dire que grâce à son éducation, Marion Rousse connaît la valeur du travail.
«Je n’ai pas envie de me plaindre»
« Je n’ai pas envie de me plaindre parce que je viens d’une famille où mon père était conducteur d’engin, et je sais ce que c’est, je le voyais partir tous les matins à 6 heures pour faire un métier qu’il n’aimait pas forcément », révèle-t-elle dans le podcast 100% Vélo de Ouest France, avant d'en rajouter une couche.
«J’ai été élevée dans une famille où, même si le soir, il rentrait et avait mal au dos, et ne se plaignait jamais»
« J’ai été élevée dans une famille où, même si le soir, il rentrait et avait mal au dos, et ne se plaignait jamais… Donc je pense que je n’ai pas du tout à me plaindre et je mesure la chance que j’ai de pouvoir commenter les plus belles courses au monde et d’être directrice de la plus belle course au monde pour le cyclisme féminin », ajoute Marion Rousse, qui va donc prochainement quitter la cabine de commentaires de France Télévisions afin de rejoindre la Bretagne, terre du Grand Départ du Tour de France Femmes.