Clash avec Alaphilippe : Il répond sèchement à Marion Rousse !
Arnaud De Kanel

Alors que la saison vient à peine de commencer, Patrick Lefévère en a remis une couche au sujet des prestations de Julian Alaphilippe sur les deux dernières années. Et dans sa très lourde critique, le patron de la Soudal Quick-Step évoque la relation de son coureur avec Marion Rousse. La directrice du Tour de France féminins lui a répondu, ce qui a poussé Lefévère à répondre à son tour. 

« Trop de fêtes, trop d'alcool... Julian est sérieusement sous le charme de Marion (Rousse). Peut-être trop. Julian est un jeune chien plein d'énergie. Il y a toujours un mauvais garçon en lui. » Telles sont les reproches faites par Patrick Lefévère à Julian Alaphilippe. Une sortie qui n'a évidemment pas été du goût de Marion Rousse qui a décidé de répondre à cette attaque, avant que Lefévère remette une pièce dans la machine. 

Rousse répond à Lefévère 

« Quels que soient les sentiments de Monsieur Lefevere à mon égard, il est inadmissible de s'attaquer comme il le fait à notre vie privée. Alors non, je ne bois pas d'alcool, jamais même. Raté pour les fêtes également car avec un petit de 3 ans nous préférons être en forme le matin. Vous ne réussirez pas non plus, comme vous me l'avez déjà évoqué, à m'empêcher de travailler pour m'occuper et rester auprès de Julian le temps de sa carrière. Les missions que j'exerce me passionnent et sachez que j'ai plein de projets. Mais je vous le dis, en aucun cas je ne vous permets de parler de ma vie privée. Merci désormais de cesser de parler à tort et à travers et de faire preuve de davantage de respect et... de classe », avait alors déclaré Marion Rousse sur ses réseaux sociaux. Patrick Lefévère a répondu à sa manière. 

«Je peux encore dire ce que je veux, je le paye moi, et très bien»

« Les mots ont été plus durs que ce que j'aurais voulu. J'ai tout à fait débordé, je suis désolé. J'ai dit que je voulais qu'il change de comportement. Que Mme Marion se sente attaquée dans sa vie privée, c'est son problème. J'ai dit que c'était bien qu'elle soit là pour l'aider, mais de temps en temps, il faut lui lâcher la laisse. Je peux encore dire ce que je veux, je le paye moi, et très bien », a ajouté le patron de Julian Alaphilippe. Le psychodrame continue...

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