Wimbledon : Federer, les chiffres impressionnants de sa victoire
La rédaction

Vainqueur d’Andy Murray en finale de Wimbledon (4-6, 7-5, 6-3, 6-4), Roger Federer a mis fin à une malédiction qui le suivait depuis plus de deux ans. Le Suisse, qui redeviendra numéro un mondial demain, bat surtout tout un tas de records ! Nous avons retenu quatre chiffres impressionnants.

17 titres en Grand Chelem
Et de 17 ! En battant Andy Murray en finale de Wimbledon, Roger Federer a remporté le 17e titre du Grand Chelem de sa carrière (4 fois l’Open d’Australie, une fois Roland-Garros, 7 fois Wimbledon et 5 fois l’US Open). Déjà détenteur du plus grand nombre de titres en Grand Chelem avant cette édition 2012 de Wimbledon, le Suisse améliore encore un peu plus son record, le portant donc à 17. L’ancien record de Pete Sampras (14 titres) est bien loin...

7 victoires à Wimbledon
En remportant son 7e titre sur le gazon de Wimbledon, Roger Federer rejoint le Britannique William Renshaw et l’Américain Pete Sampras dans le livre des records. Les trois hommes détiennent désormais ensemble le plus grand nombre de titres en simple messieurs à Wimbledon avec sept couronnes. Un record que Federer peut encore battre, contrairement aux deux autres...

286 semaines au 1er rang mondial
Roger Federer retrouve son trône. Demain matin, à la publication officielle du nouveau classement ATP, le Suisse sera à nouveau numéro un mondial. Pour la première fois depuis le 6 juin 2010. C’est la deuxième fois de sa carrière que Federer retrouve le premier rang mondial. Il entamera surtout sa 286e semaine au sommet du classement ATP, égalant le record de Pete Sampras. Un record égalé qui sera battu la semaine suivante, et amélioré d’ici les Jeux...

889 jours sans titre du Grand Chelem
Roger Federer revient de nulle part. Depuis sa victoire à l’Open d’Australie en 2010 déjà contre Andy Murray, le Suisse n’avait plus remporté le moindre tournoi du Grand Chelem. Ce qui fait, en tout et pour tout, entre le 31 janvier 2010 et le 8 juillet 2012, 2 ans, 5 mois et 8 jours de disette (889 jours plus précisément). Un long trou noir pour Federer qu’il n’avait jamais connu depuis son premier titre du Grand Chelem en 2003 à Wimbledon.