Actuellement, Novak Djokovic ne traverse pas la meilleure période de sa carrière. Le Serbe n'a pas gagné le moindre tournoi depuis le début de saison, et il n'est pas au top de sa forme, alors que Roland-Garros va arriver très rapidement. Mais le Djoker a de la ressource, et il a connu bien pire lors de sa carrière. C'était notamment le cas en 2022, au moment de l'Open d'Australie.
Tout comme Rafael Nadal, Novak Djokovic n'est pas au top de sa forme actuellement. Certes, le Serbe n'est pas confronté à de sérieux problèmes physiques comme son rival espagnol, mais il ne parvient pas à briller depuis le début de saison. Le Djoker n'a pas gagné le moindre tournoi depuis début 2024, et cela n'incite pas à l'optimisme, alors qu'arrive bientôt Roland-Garros.
Djokovic avait fait l'impasse sur l'Open d'Australie 2022
Novak Djokovic traverse une période très compliquée, mais ce n'est rien comparé à janvier 2022. À ce moment-là, le Serbe espérait pouvoir disputer l'Open d'Australie. Problème, en pleine pandémie liée au coronavirus, l'Australie exigeait que chaque personne séjournant sur son territoire soit vaccinée. Toutefois, le Djoker était contre la vaccination, et il ne répondait donc pas aux critères pour rester dans le pays. Le natif de Belgrade avait donc fini par être expulsé d'Australie, et il n'avait donc pas pu s'aligner sur le majeur.
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— le10sport (@le10sport) April 19, 2024
«De nombreux joueurs lui tournaient le dos»
En 2022, avant l'expulsion de Novak Djokovic, Federico Coria avait eu la chance de partager une séance d'entraînement avec le Serbe. Pour Clay Magazine, l'Argentin est revenu sur cette période, qui était très compliquée pour le Djoker. « Il était extrêmement affligé, il traversait une période très difficile. Il espérait vraiment qu’ils le laisseraient jouer. Nous connaissons déjà la fin de l’histoire. Il avait beaucoup de respect envers moi, car de nombreux joueurs lui tournaient le dos ou n’étaient pas d’accord avec sa manière de procéder. Ce n’était pas son meilleur moment, ni le mien. J’ai dû lui dire d’arrêter de me faire courir parce que j’étais enfermé et que j’étais sur le point de mourir. »