Toni Nadal, pour donner du courage à son tennisman de neveu, n’hésite jamais à lui remémorer une phrase que lui avait glissée Mariano Puerta en 2005.
« Nadal ? Il veut tout gagner, même le tirage au sort. » Celle de Carlos Moya, qui venait de lui demander s’il rêvait de faire la même carrière que lui, est pal mal non plus : « Non, parce que tu n’es pas allé au bout de tes possibilités. »