Quel est le point commun entre Oprah Winfrey, Angela Merkel, la princesse suédoise Victoria, J.K Rowling et Kim Clijsters ? Toutes ces grandes dames sont toutes accessibles à l'achat, au rayon poupées Barbie. Foncez-y, la rupture de stock pointe déjà le bout de son nez. En bonus, retrouvez même la petite Jada, la fille de Clijsters.
Brosser ses cheveux, l’emmener faire son marché, la maquiller, la sortir au resto avec Ken. Kim Clijsters a passé toute son enfance avec sa poupée préférée. C’est elle qui le dit : «Lorsque j'étais jeune, je jouais sans cesse avec mes Barbies. Je les emmenais partout avec moi». Quoi de plus normal, donc, que Barbie lui rende hommage. Rosa Zeegers, vice-International, l’a bien compris et a attendu l’ouverture du salon du jouet à Nuremberg, en Allemagne, pour lui offrir l’un des plus beaux cadeaux de sa vie.
Mince, très mince «Kim Clijsters est un reflet de la femme moderne dans le monde entier. Elle combine avec succès sa carrière et sa vie de famille. En tant que l'une des meilleures joueuses de tennis de l'histoire, elle représente un exemple pour toute une génération de jeunes filles et incarne les valeurs de Barbie», précise Zeegers. Mince, très mince (trop mince '), moulée dans un polo rouge et une jupe noire, la Belge détonne. Petite cerise sur la gâteau, Jada, la fille de Clijsters, dispose également de sa version Barbie.Sa aman est aux anges : «Ma famille est primordiale, j'étais donc ravie lorsqu'ai entendu que Jada disposait également de sa poupée Barbie 'Jada'. C'est quelque chose d'exceptionnel pour moi et ma famille que nous chérirons notre vie entière». Dis Kim, t’en fais pas un peu trop là ?